Evolution des prix immobiliers à Paris

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Evolution des prix immobiliers à Paris

Découvrez l'historique de l'évolution des prix immobiliers à Paris.

Prix immobilier à Paris au 20 Avril 2022 : 10 erreurs à éviter absolument si vous achetez une maison à Paris

De plus en plus de familles se tournent vers le projet d’emménager dans une maison. Plus que jamais, nous ressentons l’envie de nous sentir bien chez nous, et d’avoir un maximum d’espace à disposition pour ne pas être à l’étroit. Si vous envisagez vous aussi d’investir dans une maison individuelle, sachez qu’il faut connaître les principaux pièges auxquels vous vous exposez, dans l’optique de les éviter intelligemment. HOME SELECT peut naturellement vous aider à faire les bons choix au moment de visiter des maisons en Île-de-France.

 

1. Avoir une idée floue de votre budget et votre capacité d’emprunt

Vous ne pouvez pas vous lancer dans les visites de maisons si vous ne savez pas exactement combien vous pouvez investir, quelle mensualité de prêt vous pouvez vous permettre d’assumer, ou encore quel sera votre apport. N’oubliez pas qu’au moment d’émettre une proposition d’achat, vous êtes potentiellement en concurrence avec plusieurs autres acquéreurs. S’ils ont réfléchi de façon plus approfondie et plus concrète à leur projet, ils ont toutes les chances de vous dépasser et de passer sur le dessus de la pile…  Lancez-vous uniquement après avoir clairement élaboré votre budget et posé toutes vos limites.

 

2. Négliger l’étude du marché sur le quartier

À Paris, plus que dans n’importe quelle autre ville de France, on observe d’importants écarts entre les tendances et les prix pratiqués d’un arrondissement à l’autre, d’un quartier à l’autre… et parfois même d’une rue à l’autre ! Avant d’envoyer une offre d’achat à un propriétaire, vous devez bien connaître le marché local, et maîtriser toutes les spécificités propres au quartier. Le recours à l’aide d’un professionnel, comme un chasseur de bien HOME SELECT, est naturellement très utile dès cette étape (et même avant).

 

3. Emprunter sans négocier

Vous avez certainement besoin de souscrire un crédit bancaire pour devenir propriétaire de votre maison à Paris. Et face à la tension existante, vous devez obtenir votre prêt le plus rapidement possible, en vue de composer avec un marché où chaque heure compte ! Cet empressement réel ne doit pas vous empêcher de négocier et de protéger vos intérêts. Quand vous recevez une offre de crédit de la banque et que celle-ci peut être négociée, n’hésitez pas à vous lancer pour modifier le taux, les conditions de rachat ou encore les modalités de remboursement en cas de soucis de santé, par exemple.

 

4. Passer à la trappe les questions sur l’histoire de la maison

Une maison à Paris, ou en périphérie, a sans aucun doute une véritable histoire, parce qu’elle a potentiellement été construite il y a plusieurs dizaines d’années… voire davantage. Afin de réaliser le choix le plus éclairé possible, n’oubliez pas d’interroger le propriétaire au sujet de la date de construction, ainsi que des différents travaux qui ont été faits récemment. Demandez si ceux-ci ont été effectués par les particuliers ou par des professionnels. Cela pourra vous aider à vous faire une idée de la qualité des aménagements, et à trouver des marges de négociation.

 

5. Oublier les diagnostics immobiliers

Pour la vente d’une maison à Paris, comme pour tous les logements partout en France, il faut établir un certain nombre de diagnostics immobiliers. Leur nombre varie en fonction de la date de construction, de l’emplacement du bien et de l’ancienneté des équipements. Dans tous les cas, vous devez avoir un Diagnostic de Performance Énergétique (DPE) et un État des Risques et Pollutions (ERP). Lisez bien toutes les informations présentes dans ces rapports, qui sont soumis à plusieurs réglementations.

 

6. Omettre les contraintes légales

Si la maison que vous souhaitez acheter en région parisienne se trouve dans un lotissement ou qu’elle est mitoyenne, il se peut que vous deviez respecter un certain nombre de règles, notamment sur la façade de l’habitation et les aménagements extérieurs. De plus, des servitudes de passage en place peuvent aussi affecter votre quotidien. Interrogez bien le propriétaire sur tous ces petits détails susceptibles d’impacter votre qualité de vie, cela montrera également que vous avez un projet d’installation sérieux.

 

7. Sous-estimer l’importance des conditions suspensives

Quand on transmet une offre d’achat pour une maison à Paris, on pense généralement à la condition suspensive de prêt. Celle-ci permet de concrétiser la vente si – et seulement si – vous parvenez à obtenir un emprunt bancaire. Mais vous pouvez aussi élaborer une condition suspensive liée aux travaux que vous souhaitez faire, notamment s’ils sont indissociables d’une autorisation administrative (agrandissement de la surface habitable, modification de la façade).

 

8. Penser achat, et jamais revente

Il est tout à fait logique que vous pensiez en priorité à votre achat immobilier, puisque vous êtes dans une optique d’emménagement . Cela dit, parce que vous ne savez pas de quoi l’avenir sera fait, vous devez aussi penser à la revente, même si celle-ci n’est pas à l’ordre du jour. Favorisez autant que possible les quartiers d’avenir, sur lesquels vous savez que vous n’aurez pas de difficulté à trouver un nouvel acquéreur. Évitez également les coups de cœur trop atypiques, qui peuvent être compliqués à valoriser auprès d’un public lambda.

 

9. Visiter une seule fois

On conseille généralement de demander des contre-visites avant d’envoyer une offre d’achat. Idéalement, vous avez tout intérêt à tester plusieurs visites à plusieurs moments différents de la journée et de la semaine. Cela vous permet d’avoir une idée claire de la dynamique du quartier, de l’ensoleillement des pièces de vie et des nuisances possibles. Une seule visite peut être trompeuse, ne l’oubliez pas.

 

10. Se lancer seul

Avec Internet, vous avez l’impression que vous pouvez facilement accéder en autonomie à de nombreuses offres de maisons en vente autour de Paris. Il est vrai que beaucoup de biens peuvent être trouvés de cette manière. Mais si vous aspirez à trouver une habitation répondant réellement à toutes vos attentes, vous serez forcément gagnant en vous faisant accompagner d’un professionnel dont c’est le métier. Si vous passez par HOME SELECT, vous allez non seulement gagner du temps sur les visites, mais aussi avoir la certitude qu’un expert capable de comprendre toutes vos attentes travaille exclusivement pour vous et pour préserver vos intérêts.

Prix immobilier à Paris au 20 mai 2022: IMMOBILIER EN 2022 : LA TENDANCE EST À LA NÉGOCIATION, LANCEZ-VOUS !

Toutes les personnes qui envisagent de concrétiser bientôt un projet immobilier s’intéressent au contexte, aux tendances qui se dessinent dans cet univers bien particulier. Quels seront les mots d’ordre de l’année 2022 sur le front des ventes et des acquisitions immobilières ? Même si le marché est très tendu et qu’il faut généralement être capable de réagir vite face à un bien intéressant, de plus en plus d’acheteurs osent négocier devant les points faibles qu’ils identifient. Toujours plus exigeants concernant leur qualité de vie et les prestations de leur logement, les Français souhaitent payer un prix qu’ils considèrent comme juste : pour se donner du poids dans les négociations, ils ne doivent pas hésiter à demander l’accompagnement de professionnels, et à envisager leur projet main dans la main avec un chasseur d’appartement HOME SELECT. La tendance en matière d’immobilier pour cette année est donc la négociation.

 

Le marché de l’immobilier, toujours aussi dynamique en 2022

L’année 2021 a été celle de tous les records dans la sphère de l’immobilier : il y a eu une sorte d’effet « rattrapage » après les confinements et l’épidémie de covid-19. En parallèle, beaucoup de Français choix d’un nouveau travail, la mobilité a clairement été au rendez-vous après des mois de confinement forcé.

Depuis quelque temps, les villes moyennes gagnent en attractivité. Elles permettent pour beaucoup d’avoir un logement plus grand au même prix, sans oublier d’accéder à une qualité de vie très recherchée. Sur Paris, même si cette dynamique de croissance n’est pas aussi marquée que dans les autres métropoles de France, on observe également un regain d’intérêt pour les grands appartements familiaux, ceux qui abritent au moins 3 chambres.

 

La tendance dans le domaine de l’immobilier cette année : la négociation

Le délai moyen permettant de vendre un logement a plutôt tendance à diminuer, au vu du contexte et de la demande toujours plus forte du côté des acquéreurs. Toutefois, cela ne signifie pas que tous les biens partent forcément à vitesse grand V.

Concrètement, les logements bien placés et bien estimés ont toutes les chances d’être vendus dans les meilleurs délais. Mais ceux qui ne sont pas bien desservis par les transports en commun, qui n’ont pas été récemment rénovés ou qui ne sont pas dans un quartier recherché peuvent être beaucoup plus difficiles à vendre.

À l’heure actuelle, face à un pouvoir d’achat sans cesse menacé par l’inflation, les Français n’hésitent pas à négocier le prix de leur logement. Dès qu’ils voient un point négatif apparaître au moment de la visite, ils ne redoutent pas de s’appuyer dessus pour demander une baisse de prix. D’après les professionnels de l’immobilier, ce phénomène a toutes les chances de durer, car nous devenons tous plus exigeants quant à la qualité de notre espace de vie.

 

Comment négocier un appartement ?

Maîtriser le marché

Vous avez conscience qu’une marge de négociation est possible au moment de visiter un appartement ? Assurez-vous d’avoir bien pris connaissance des tarifs pratiqués sur le marché. Car si vous demandez une baisse de prix sur un logement qui n’est pas surestimé, votre dossier risque d’être laissé au fond de la pile. Entrez en négociation uniquement si vous savez qu’on peut trouver des biens similaires moins chers, ou des biens plus spacieux dans la même fourchette de tarifs.

 

S’appuyer sur des points précis

Vous ne pouvez pas simplement négocier le prix à la baisse parce que vous n’aimez pas la couleur de la peinture, ou que la ligne de métro que vous empruntez pour aller jusqu’au travail ne passe pas au pied de l’immeuble. Vous devez vous reposer sur des critères aussi factuels et neutres que possible. Par exemple, s’il y a des travaux de plomberie ou d’électricité à réaliser, demandez un devis à des artisans, et négociez en conséquence. Vous pouvez parler des performances thermiques du bâtiment (DPE), de l’absence de double vitrage, d’un sol à rafraîchir ou encore d’une chaudière à remplacer, entre autres arguments.

 

Rester courtois et sympathique

La négociation est un art relativement complexe : les personnes qui y arrivent bien sont généralement à l’aise dans les relations sociales ! En effet, vous devez à la fois mettre le doigt sur des points négatifs, et montrer votre engouement ainsi que votre envie d’acheter. Vous ne pouvez pas être toujours dans la critique et avoir une attitude peu sympathique, car le vendeur a toutes les chances de refuser de faire affaire avec vous. Restez systématiquement poli, glissez quelques compliments et valorisez quelques points forts avant d’entrer dans le vif du sujet.

 

Être réaliste

Il peut y avoir une marge de négociation dans un certain nombre de cas. Mais celle-ci n’est pas toujours grande… Alors si vous la dépassez, vous risquez de passer à côté d’un logement qui vous plaît pourtant énormément. Là encore, c’est votre connaissance du marché et des autres annonces qui va vous aider à négocier intelligemment. Bien sûr, vous pouvez aussi utiliser des devis d’artisans comme arguments pour revoir le prix de vente à la baisse.

 

Se faire accompagner

Cette année, en matière d’immobilier, la tendance est la négociation. Pourtant, c’est un art complexe : les personnes qui y arrivent le mieux sont naturellement celles qui ont fait d’elle leur métier principal ! Si vous avez des doutes sur les arguments à utiliser, que vous ne savez pas comment aborder la négociation et que vous craignez des maladresses, demandez l’accompagnement d’un chasseur de bien HOME SELECT dans le cadre de votre projet. Spécialisés dans la recherche de biens immobiliers, nous nous attachons aussi à proposer un accompagnement complet (et sur-mesure) à chacun de nos clients.

Par exemple, nous pouvons vous mettre en relation avec un courtier pour le crédit, organiser votre déménagement, gérer l’inscription de vos enfants dans leur nouvelle école, et bien évidemment négocier le prix de vente directement avec l’agence ou le vendeur . Ne vous lancez pas seul dans un projet qui a toutes les chances d’être mené d’une meilleure façon avec l’aide d’experts en la matière ! Contactez HOME SELECT pour en savoir plus sur nos offres et notre accompagnement.

Prix immobilier à Paris au 19 Avril 2022 : LÉGÈRE HAUSSE DES INTÉRÊTS BANCAIRES : C’EST TOUJOURS LE MOMENT D’ACHETER !

En avril 2022, la tendance qu’on observait déjà depuis un certain temps dans l’univers des crédits immobiliers se confirme timidement : les taux des intérêts bancaires augmentent légèrement. Ils avaient déjà un peu progressé au cours des mois précédents. Malgré tout, ils restent à un niveau bas et attractif, raison pour laquelle on conseille toujours d’acheter. Cependant, dans ce contexte, l’accompagnement d’un chasseur d’appartement devient décisif, parce qu’il permet de monter un dossier solide, et de négocier les conditions à votre avantage – pour échapper à ces petites hausses au niveau des intérêts.

 

Des taux qui n’augmentent pas dans toutes les banques

L’OAT 10 ans (taux à 10 ans) est l’une des références utilisées par les banques pour réaliser leurs grilles. Ce taux, qui était inférieur à 0,40 % en mars 2022, a légèrement dépassé 1 % ces derniers temps. Cela ne signifie pas que les emprunts reviennent forcément beaucoup plus cher aux consommateurs. En effet, toutes les banques n’ont pas systématiquement répercuté cette hausse sur leurs propres taux.

C’est la raison pour laquelle, malgré la progression de cet indicateur, les crédits hypothécaires restent attractifs dans la plupart des banques. L’évolution, même si elle peut être légèrement ascendante, reste suffisamment timide et mesurée pour qu’il soit encore tout à fait possible de se projeter du côté des acheteurs… Surtout s’ils montent un dossier solide et qu’ils se font accompagner de professionnels pour les négociations.

 

Des offres qui varient en fonction de la qualité du dossier

D’après emprunt-direct.com, les intérêts moyens pour un emprunt de 10 ans vont de 1,25 % pour les excellents dossiers à 1,70 % pour les bons dossiers. Aujourd’hui encore, les acheteurs les plus sérieux, qui offrent le maximum de garanties, sont ceux qui ont le plus de chances d’accéder aux meilleures conditions d’emprunt. 

L’apport fait naturellement partie des principaux critères qui pèsent dans la balance : plus il est important, meilleures sont les chances d’avoir un prêt qui coûte finalement moins d’argent. Mais la négociation peut aussi avoir son rôle, tout comme la capacité à fournir rapidement un dossier complet et bien appuyé.

Pour vous donner toutes les chances d’échapper à cette tendance légèrement haussière sur le front des emprunts bancaires, vous avez tout intérêt à vous faire entourer de professionnels pour ce projet ! Cherchez votre appartement sur Paris avec un chasseur de bien HOME SELECT, il pourra ensuite vous diriger vers des collaborateurs courtiers si nécessaire. Cela vous permettra d’avoir toutes les cartes en main pour négocier fermement ce crédit qui conditionnera votre confort financier sur les prochaines années.

 

La nécessité d’être très réactif dans ce contexte

Entre l’épidémie de covid-19 qui semble suspendue à l’arrivée de nouveaux variants, l’incertitude économique et la guerre en Ukraine, le contexte n’est pas totalement favorable à cette confiance dont on a besoin pour accorder des prêts bancaires . Cela ne signifie pas qu’on ne puisse plus emprunter : les banques doivent pouvoir compter sur les crédits, qui constituent l’une de leurs principales sources de rentabilité. Elles modifient simplement certains taux et certaines conditions, pour mieux composer avec les risques auxquels elles sont exposées.

Il n’est pas si rare de voir, à l’heure actuelle, des banques communiquer des conditions de prêt qui ne sont pas valables plus de 15 jours. Face à cela, les acheteurs doivent être plus que jamais réactifs dans leurs démarches, sans quoi ils risquent de passer à côté des offres les plus alléchantes.

Si vous manquez de temps pour vous consacrer à votre projet immobilier, n’oubliez pas de demander l’accompagnement de HOME SELECT. Vous aurez l’avantage de collaborer avec un réseau : non seulement un chasseur dédié prendra votre dossier en charge, mais il pourra aussi se mettre en relation avec d’autres chasseurs si nécessaire, sans oublier de vous présenter un courtier pour négocier le crédit bancaire. Nous nous occupons de tout le travail de recherche, ainsi que des différentes démarches inhérentes à l’achat (négociation, papiers administratifs, recherche de prêt, devis pour les travaux, emménagement), à la fois pour vous faire gagner du temps et de l’argent. 

 

La guerre en Ukraine peut-elle avoir d’autres conséquences sur le marché de l’immobilier ?

Du côté des professionnels de l’immobilier, on craint que la guerre en Ukraine ait des répercussions sur les projets des Français, concernant l’achat ou la vente de biens, mais aussi sur l’attitude des banques, avec moins de propension à accepter les demandes de prêt.

Malgré ce contexte, il convient de rappeler que l’immobilier reste une valeur refuge en France. Les banques sont plutôt favorables à l’idée d’accorder des crédits, considérant que ce placement reste un projet sûr et souvent rentable (grâce aux plus-values immobilières, notamment).

Les banques continuent d’avoir des objectifs importants en ce qui concerne les crédits. Si elles peuvent être plus intransigeantes avec les profils moins sérieux, elles ont tout intérêt à proposer les conditions les plus favorables aux acheteurs qui ont de bonnes garanties. La guerre en Ukraine n’impacte pas vraiment leur vision des choses sur ce plan.

Les hausses des taux que l’on peut observer, qui ne s’appliquent pas toujours à tous les profils (mais plutôt à ceux qui ont moins de garanties), ne sont pas une conséquence du conflit entre la Russie et l’Ukraine, d’après les professionnels du milieu.

En revanche, il convient d’ajouter que la hausse du prix des énergies, fortement conditionnée par la situation entre la Russie et l’Ukraine, peut avoir des conséquences sur le marché de l’immobilier. Celle-ci contribue à diminuer le pouvoir d’achat, et notamment celui des foyers les plus modestes. Seulement, les personnes qui cherchent à devenir propriétaires sont généralement des profils avec de bons revenus, qui ne sont pas autant touchés par la hausse des coûts de l’énergie – celle-ci affecte surtout les budgets les plus restreints. 

Aujourd’hui encore, on vit une forme d’incertitude en ce qui concerne les coûts de l’énergie, les approvisionnements pour certaines matières premières et même la bourse. Mais dans ce contexte, l’immobilier reste une valeur sûre, et les hausses légères des taux n’impactent pas forcément tous les acquéreurs. Pour vous donner toutes les chances d’avoir un crédit attrayant, n’oubliez pas de demander à votre chasseur de faire appel à un courtier.

Prix immobilier à Paris au 28 Janvier 2022 : FACE À UN MARCHÉ TOUJOURS TENDU, FAITES-VOUS ACCOMPAGNER D’UN CHASSEUR D’APPARTEMENT

À Paris, on évoque quotidiennement un marché tendu dans la sphère de l’immobilier, sans que cela parle forcément à tous les acquéreurs potentiels : à quoi fait-on référence précisément quand on évoque cette fameuse « tension » ? Quels sont les indicateurs à prendre en compte pour évaluer le marché et mieux comprendre à quel point celui-ci peut être complexe ? Pourquoi l’accompagnement d’un chasseur de bien devient essentiel afin de tirer votre épingle du jeu ? Toutes les explications dont vous avez besoin vous sont livrées par HOME SELECT !

 

Pourquoi parle-t-on toujours d’un marché de l’immobilier tendu à Paris ?

Que l’on cherche à louer ou acheter un logement sur Paris, il faut dans tous les cas batailler : le nombre de logements disponibles demeure bien trop faible pour répondre convenablement à toutes les demandes, ce qui crée une tension difficile à combattre. Bien qu’on ait pu percevoir un léger apaisement sur le front de l’immobilier parisien après la pandémie qui a bouleversé notre économie, la tension reste – et restera sans aucun doute – palpable pour de nombreuses raisons évidentes.

 

L’une des villes les plus chères de France

En Île-de-France, et plus spécifiquement à Paris, on trouve les logements les plus chers de tout le pays. En ce sens, deux appartements similaires, offrant le même niveau de prestations et la même superficie, ne se vendront pas au même tarif en plein Paris ou dans une ville plus modeste comme Tours, Bayonne ou encore Nancy.

Les confinements et le développement du télétravail ont encouragé de nombreux Parisiens à quitter la capitale, pour continuer à travailler dans la même entreprise tout en résidant dans une ville plus modeste, si possible près de la mer et des grands espaces naturels. Mais cette réalité ne doit pas vous pousser à croire que la tension a disparu à Paris… Si elle s’est timidement calmée, celle-ci demeure malgré tout plus que palpable.

Aujourd’hui, il est vrai que les prix de l’immobilier dans certaines grandes villes bien placées, comme Nantes, Toulouse, Bordeaux ou encore Nice, ont tendance à augmenter et à se rapprocher de ceux qu’on peut observer sur Paris. Mais Paris reste – et restera – une métropole onéreuse pour se loger, aussi bien quand on cherche à louer qu’à acheter.

 

Des divergences de prix importantes

La tension immobilière à Paris ne s’explique pas uniquement au moment d’interpréter les tarifs qui sont pratiqués pour les locations et les ventes. On peut aussi évoquer les différences de prix extrêmement importantes d’un arrondissement à l’autre, mais parfois également d’un quartier – et même d’une rue – à l’autre.

Très concrètement, la proximité avec une station de métro peut littéralement faire exploser le tarif de vente d’un bien, tout comme une vue sur la Seine ou un placement idéal au cœur des quartiers les plus vivants. À l’inverse, un appartement implanté dans un secteur moins populaire et moins recherché peut légèrement perdre de la valeur, et être plus compliqué à vendre.

Tandis que les prix flambent dans certains secteurs (ceux qui vont être desservis par le Grand Paris Express, par exemple), ils augmentent beaucoup plus timidement dans d’autres. Ces inégalités rendent le marché plus difficile à appréhender et à comprendre pour les acquéreurs.

 

Une demande conséquente sur les biens peu représentés

On cherche toujours plus de maisons et de grands appartements avec espace extérieur à Paris. Le fait d’avoir été confiné pendant plusieurs mois au cours des dernières années n’a rien arrangé à cela : plus que jamais, les Français ressentent le besoin d’être à l’aise chez eux, voire éventuellement d’avoir un bureau et une pièce supplémentaire pour travailler depuis leur domicile.

De ce fait, les appartements avec une terrasse, un espace bureau ou encore une grande pièce de vie ainsi qu’une bonne exposition sont extrêmement prisés dans la capitale. Il en va de même pour les rares maisons avec jardin, qui sont prises d’assaut par des acquéreurs en quête de bien-être. En toute logique, les biens les plus enviés et les moins représentés se vendent très vite, et peuvent être sujets à une véritable surenchère du côté des acheteurs, ce qui alimente la tension du marché.

 

Comment avoir une idée de la tension immobilière du marché parisien ?

Afin de mieux comprendre pourquoi le marché de l’immobilier parisien est tendu et d’avoir une idée de ce qui est possible pour vous dans ce contexte, vous pouvez essayer d’analyser plusieurs paramètres très utiles à maîtriser.

 

L’ITI, un indicateur pertinent à prendre en compte

L’ITI, ou Indicateur de Tension Immobilière, mesure le rapport entre le nombre d’acheteurs et le nombre de biens disponibles à la vente. Ces derniers temps, on observe que celui de Paris tend à stagner, et qu’il se fait rattraper par d’autres grandes villes comme Bordeaux, Lyon ou encore Toulouse par exemple.

Malgré tout, l’ITI de Paris semble toujours dépasser les 5 %, ce qui signifie que la tension reste très importante sur place. Les villes ayant un ITI entre -5 et 5 % sont considérées comme équilibrées, tandis que l’ITI inférieur à -5 % fait référence à un nombre d’acheteurs inférieur au nombre de biens à vendre.

 

La vitesse à laquelle les biens se vendent, autre paramètre clé

Au fil des mois et des années, la durée moyenne pendant laquelle un bien est en vente peut être amenée à évoluer. Mais en dépit de ces variations tout à fait naturelles et finalement assez peu significatives, on peut affirmer que les ventes se font généralement vite sur Paris, ce qui contribue à rendre le marché toujours plus tendu.

Les maisons ainsi que les grands appartements, très recherchés, n’ont pas systématiquement le temps d’être mis en vente sur le marché – les transactions sur les biens les plus prisés se font souvent en off-market, par l’intermédiaire du bouche-à-oreille.

 

Le nombre de candidatures à l’achat pour un même bien

Il suffit d’interroger les propriétaires sur le nombre de dossiers qu’ils reçoivent à la mise en vente d’un bien pour avoir une idée de la tension du marché de l’immobilier parisien. Très souvent, ceux-ci obtiennent de nombreuses propositions, ils ont l’embarras du choix et ils sont en plus en position de force.

Plus étonnant, on s’aperçoit même que, pour les biens de luxe qui sont commercialisés à des prix très élevés, les candidatures restent toujours au rendez-vous, malgré la crise liée à la pandémie qui a eu des répercussions sur le pouvoir d’achat de certains acheteurs.

 

Les prix de vente moyens au mètre carré

Au 1er janvier 2022, le prix moyen au mètre carré pour acheter une maison ou un appartement à Paris dépasse allègrement les 10 000 € : 10 203 € pour un appartement et 10 937 € pour une maison (selon MeilleursAgents). Après avoir atteint un niveau historiquement haut autour de 2019, les prix baissent légèrement, mais restent à un seuil très élevé, beaucoup plus que dans les autres grandes villes. 

Si l’on parvient toujours à vendre ces appartements au prix fort à Paris, cela signifie bien que la tension reste palpable, et que la balle demeure dans le camp des vendeurs qui se trouvent en position de négocier davantage que les acheteurs.

 

Se faire aider d’un chasseur d’appartement, un choix judicieux en région tendue

Vous hésitez encore avant de faire appel à un chasseur d’appartement pour votre projet d’achat à Paris, car vous ne savez pas dans quelle mesure celui-ci peut effectivement vous aider ? Ces quelques arguments devraient vous convaincre de sauter le pas sans aucune difficulté.

 

La réactivité dont vous avez besoin

Puisque le marché de l’immobilier parisien est tendu, vous ne pouvez pas vous permettre d’attendre quand un bien vous intéresse. En effet, si vous procédez ainsi, vous risquez de vous faire régulièrement dépasser par des personnes plus disponibles et plus réactives que vous, qui transmettront une offre d’achat avant vous et qui passeront en priorité. Si vous n’avez pas suffisamment de disponibilités pour visiter des biens rapidement et poser votre offre, vous avez tout intérêt à confier votre projet et votre recherche à un chasseur d’appartement HOME SELECT dont c’est le métier.

 

Un carnet d’adresses suffisamment riche pour identifier les meilleures opportunités

La tension du marché parisien vous pousse à vous poser un certain nombre de questions : parviendrez-vous à trouver le bien répondant à tous vos critères d’exigences ? Réussirez-vous à emménager dans les meilleurs délais ? Les annonces que vous consultez sont-elles réellement attractives et offrent-elles un bon rapport qualité / prix ? Pour y voir plus clair et surtout pour accéder aux offres les plus intéressantes, le recours à un chasseur d’appartement sera salutaire. 

Chez HOME SELECT, nous vous faisons profiter de notre large carnet d’adresses, et nous vous donnons toutes les clés en mains pour trouver les meilleures opportunités à saisir. 

 

Une aide solide pour appuyer votre candidature

Comme vous avez pu le comprendre un peu plus tôt, les propriétaires parisiens reçoivent généralement un grand nombre de candidatures à l’achat quand ils mettent leur bien en vente. En ce sens, votre offre va potentiellement être en concurrence avec un panel d’autres propositions, sans que vous ne sachiez si vous vous placez en position de force ou pas. Seul, il peut être difficile de montrer le sérieux de votre proposition. Mais si vous vous faites aider par un chasseur d’appartement, vous savez qu’un professionnel sera disponible pour compléter votre dossier, vous aiguiller et vous donner toutes les chances de passer au-dessus de la pile. 

Chez HOME SELECT, nous sommes en mesure de vous aider à construire votre dossier d’acquisition, et même de vous mettre en relation avec un courtier pour négocier votre prêt par exemple. Nous faisons tout notre possible pour montrer la solidité de votre candidature.

La possibilité de profiter des offres en off-market

Puisque le marché de l’immobilier parisien est plutôt tendu, vous risquez de voir un certain nombre de biens se vendre avant que vous ne puissiez bénéficier d’une visite. Pour vous donner plus de chances de concrétiser votre souhait et de devenir propriétaire, vous ne pouvez définitivement pas vous contenter de suivre les annonces et de contacter quelques agences une fois de temps en temps. L’idéal reste plutôt de faire appel aux professionnels capables de vous proposer de l’off-market, comme HOME SELECT. Les biens en off-market, qui ne sont pas encore publiés sur les sites d’annonces, sont parfois des appartements d’exception. Les propriétaires reçoivent généralement moins d’offres d’achat pour ces logements, ce qui vous délivre plus de chances de réussir à concrétiser votre souhait.

Chez HOME SELECT, nous vous ouvrons avec grand plaisir la porte de l’off-market. Notre large réseau de connaissances et de partenaires nous permet de vous proposer régulièrement des offres exclusives, auxquelles vous pouvez répondre avec notre aide dans les meilleures conditions.

 

Un accompagnement dans toutes les démarches

L’achat d’un appartement ou d’une maison sur Paris ou en Île-de-France est un véritable projet de vie, pour lequel vous ressentez probablement un certain stress. Afin de vous permettre de vivre cette transition plus sereinement et dans les meilleures conditions possible, on recommande de vous rapprocher d’un professionnel capable de vous accompagner pas à pas, et de protéger vos intérêts dans tous les cas. Il ne faut pas oublier que les agences immobilières travaillent avant tout pour vendre plus, et que seuls les chasseurs d’appartements sont mandatés par et pour les acquéreurs.

Chez HOME SELECT, nous vous offrons une prestation de services sur-mesure. Nous pouvons vous donner accès à des annonces de vente en off-market, mais aussi vous présenter des partenaires courtiers pour rechercher un prêt, et même vous dispenser des services d’aide à l’emménagement. Notre prestation, spécifiquement pensée pour vous aiguiller et vous être utile, s’adapte à vos besoins et vos problématiques.

La tension de l’immobilier parisien ne fait aucun doute, et elle restera d’actualité sur le long terme. Afin de composer avec ce contexte compliqué, les acquéreurs doivent savoir se faire entourer des bonnes personnes. Les chasseurs de bien sont les seuls, dans l’immobilier, à réellement intervenir dans votre intérêt, gardez cela à l’esprit quand vous ressentez le besoin d’une aide professionnelle.

Prix immobilier à Paris au 18 Janvier 2022 : APRÈS LES CONFINEMENTS, PARIS RESTE LE CENTRE NÉVRALGIQUE DU MARCHÉ IMMOBILIER

On le sait, la crise liée à l’épidémie ainsi que les confinements ont profondément métamorphosé le marché de l’immobilier. Si de plus en plus de Parisiens décident de quitter l’Île-de-France encouragés par la possibilité de faire du télétravail, cette réalité mérite d’être nuancée. Car quand on regarde les statistiques de plus près, on s’aperçoit que c’est encore et toujours Paris qui concentre le plus de transactions. Pour les prochains mois, la Paris a toutes les chances de rester l’épicentre du marché immobilier français !

 

Un tiers de la demande sur Paris et en Île-de-France

Une récente enquête menée par SeLoger révèle qu’une recherche de bien immobilier sur trois est déclarée sur Paris, ou à minima dans la région Île-de-France. À elle seule, la ville de Paris regroupe environ 6 % des recherches immobilières françaises. 

On pourrait croire que la capitale a perdu de son attrait. Dans les faits, même si beaucoup de Franciliens ont effectivement décidé d’aller vivre ailleurs, la métropole demeure extrêmement attractive… Ce qui contribue à alimenter la tension du marché.

Par exemple, en novembre 2021, on identifiait encore une tendance à la hausse sur les prix. Ceux-ci ont augmenté de 7,3 % en 12 mois, toujours selon SeLoger. Bien que les tarifs semblent légèrement stagner ces derniers mois, cela ne signifie pas que le marché parisien soit en pause, bien au contraire. En ce sens, il convient de rappeler que cette accalmie intervient après des années de hausses successives. Elle paraît naturelle et inévitable, alors même que les prix moyens ont déjà atteint des sommets.

Bien évidemment, cette dynamique de la demande s’accompagne d’une tendance proche sur le front des offres. En effet, entre janvier et octobre 2021, la part des offres a augmenté de 65 %, tandis que la part des maisons, quant à elle, a aussi progressé de 30 %. 

La légère stagnation des prix s’explique de différentes manières, selon les professionnels de l’immobilier. En premier lieu, c’est un apaisement logique après des années de hausses continuelles. Ensuite, le fait qu’une élection présidentielle approche pèse également dans la balance. Concrètement, du côté des acheteurs comme de celui des vendeurs, une forme d’attentisme se montre souvent à la veille de la fin d’un quinquennat.

 

Un marché toujours très tendu : la location immobilière à Paris

Alors même que les ventes à Paris représentent toujours un volume important, le marché des locations reste lui aussi très dynamique, et naturellement sous tension. D’après le Baromètre SeLoger, plus de 40 % des recherches d’appartements sur le territoire national se situent en Île-de-France. Et dans la région Île-de-France, plus d’une recherche sur trois se place sur Paris. 

Quand on s’intéresse aux prix de l’immobilier à Paris, on découvre que les loyers stagnent, sachant même que certains baissent timidement. Une réalité qui mérite là aussi d’être mise en perspective avec les chiffres : les loyers à Paris restent très chers. Par exemple, on sait que les habitants de la région doivent consacrer plus d’un tiers de leurs ressources mensuelles au paiement du loyer, ce qui prouve à quel point il est compliqué de se loger sur place.

Face à cette tension extrême dans le domaine des locations immobilières à Paris, on voit le nombre de colocations augmenter assez vite. Désormais, cette pratique ne concerne plus seulement les étudiants : de plus en plus d’actifs en CDI font également ce choix, afin d’avoir plus d’aisance financière, mais aussi dans une optique de changer de mode de vie et de rompre avec la solitude.

 

L’attractivité de Paris reste d’actualité

À la fin de l’année 2021, il fallait compter en moyenne 11 367 € par mètre carré pour devenir propriétaire à Paris. En parallèle, la marge de négociation pour acquérir un appartement sur la métropole parisienne dépassait à peine les 3 %. 

La généralisation du télétravail et les confinements n’auront donc pas eu raison du marché de l’immobilier parisien, qui reste un moteur à l’échelle nationale. Depuis 5 ans, l’Île-de-France continue de gagner chaque année environ 50 000 nouveaux habitants. Ceux-ci viennent majoritairement pour des raisons professionnelles, mais ils apprécient aussi le fait de vivre sur un territoire touristique, avec une offre culturelle diversifiée et un cadre de vie riche.

 

L’immobilier professionnel demeure dynamique à Paris

Entre le premier trimestre de l’année 2020 et les mois d’août, septembre et octobre 2021, la demande pour les bureaux a augmenté de 86 % – et 111 % pour les commerces, d’après les données du site SeLoger bureaux & commerces. 

Avec les confinements, beaucoup d’entreprises ont réduit la surface de leurs bureaux, en comptant davantage sur le télétravail. Certains commerçants ont également modifié leur activité, pour faire plus de chiffre d’affaires avec les ventes sur Internet, ce qui a créé de nouveaux besoins sur le marché de l’immobilier. Les entrepreneurs continuent de vouloir travailler et lancer des business sur Paris, ce qui contribue naturellement à faire vivre la capitale et à la rendre toujours plus attractive.

 

Le rôle d’un chasseur de bien, toujours décisif

Que vous cherchiez un appartement, une maison ou même un local commercial en région parisienne, vous risquez de faire face à un certain nombre de difficultés dues à la tension du marché. Afin d’accéder à un maximum d’offres et d’avoir toutes les chances de concrétiser rapidement votre projet, vous avez tout intérêt à demander l’aide d’un chasseur immobilier HOME SELECT.

Nous vous faisons accéder à de nombreuses offres exclusives, en off-market. Notre équipe peut se déplacer à votre place pour effectuer les visites des biens susceptibles de vous intéresser. Nous nous substituons également à vous pour toutes les démarches administratives liées à l’acquisition. Passer par notre intermédiaire pour acheter, c’est vous donner toutes les chances de réussir à trouver le bien répondant à toutes vos attentes, tout en vous faisant accompagner d’un expert capable de protéger vos intérêts à toutes les étapes du processus.

Paris est – et restera – une valeur sûre dans le domaine de l’immobilier français. Y acheter un bien, c’est vous assurer dans tous les cas d’enrichir intelligemment votre patrimoine.

Prix immobilier à Paris au 21 Décembre 2021 : PREMIER SEMESTRE 2021, LES VENTES DANS L’IMMOBILIER DE LUXE BATTENT DES RECORDS

La crise sanitaire a profondément impacté le marché de l’immobilier : pendant les premiers confinements, certains professionnels ont dû stopper ou nettement ralentir leur activité, avant de trouver des parades avec les visites vidéo et la dématérialisation de certaines démarches. Avec une présence beaucoup moins forte du côté des acheteurs étrangers, on craignait un net recul dans la sphère de l’immobilier de luxe parisien, avant tout dynamisée par les investisseurs hors d’Europe. Mais contre toute attente, malgré le contexte, le marché de l’immobilier de luxe se porte extrêmement bien, et tire même son épingle du jeu en 2021… Les professionnels nous expliquent pourquoi !

 

Cet exil parisien qui ne touche pas l’immobilier de luxe

On le sait, les confinements et l’essor du télétravail ont encouragé beaucoup de Franciliens à revoir leur idéal de vie. Alors qu’ils aspiraient généralement à se rapprocher autant que possible de leur lieu de travail pour réduire le temps des trajets quotidiens, ils ont complètement bousculé leurs perspectives, en s’apercevant qu’ils pouvaient faire 50 % – ou parfois plus – de télétravail.

Ainsi, beaucoup de familles et de jeunes cadres ont décidé de quitter Paris, et même l’Île-de-France, pour bénéficier d’un meilleur cadre de vie ailleurs. En toute logique, les grandes villes proches de la mer comme Nantes, Bordeaux, Montpellier ou encore Nice et Marseille ont été prises d’assaut… Ce qui porte naturellement à penser qu’il y a un véritable désamour pour Paris.

Bien que cet exil parisien soit une réalité, il ne concerne pas toutes les populations et toutes les sphères du marché de l’immobilier. Ainsi, du côté des professionnels du secteur, on observe une activité très dynamique liée aux biens de luxe, et même une croissance importante du nombre d’agences ouvertes dans le secteur.

Président du groupe Daniel Féau interviewé par Le Figaro Immobilier, Charles-Marie Jottras a évoqué une hausse importante du montant des ventes. Celui-ci a grandi de 39 % entre l’année 2019 (avant l’épidémie de Covid) et 2021, pour avoisiner 1,35 milliard d’euros. 

 

Les biens les plus chers sont aussi ceux qui augmentent le plus

Quand on s’intéresse de plus près aux statistiques de l’immobilier de luxe à Paris en 2021, on comprend assez vite que les biens les plus prestigieux sont ceux qui ont le plus gagné en valeur. Bien évidemment, les confinements ont impacté le marché : les maisons individuelles avec jardin s’envolent encore plus haut, tout comme les hôtels particuliers de caractère avec beaucoup de surface, et des pièces supplémentaires pour aménager un bureau par exemple.

Sur deux années, les ventes de biens dépassant la somme de 3 millions d’euros ont augmenté de 120 %, ce qui signifie qu’elles ont plus que doublé ! Et tandis que le prix moyen d’un logement au mètre carré est de 10 700 € par mètre carré, la moyenne dans l’immobilier de luxe est de 16 724 € par mètre carré… Et même plus de 20 000 € par mètre carré pour les biens évalués au-dessus de 4 millions d’euros.

 

L’attrait des très grands logements flambe littéralement

Les chiffres sont encore plus impressionnants, dans la sphère de l’immobilier de luxe parisien, quand on s’intéresse aux très grandes habitations, comme les appartements familiaux ou les hôtels particuliers dont la superficie se situe entre 300 et 400 mètres carrés. Sur Paris ainsi que sur des secteurs voisins très prisés tels que Neuilly-sur-Seine, le nombre de ventes a augmenté de 219 % entre 2019 et 2021. Concernant les maisons de plus de 400 mètres carrés, l’augmentation est aussi très impressionnante : + 156 % en 2 ans, selon les agences Daniel Féau de Paris et Neuilly-sur-Seine.

Si les agences immobilières ont vu leur chiffre d’affaires progresser à Paris en 2021, c’est donc bien grâce à l’immobilier de luxe, qui tient une place de plus en plus stratégique et qui suscite toujours plus d’intérêt du côté des acquéreurs.

 

2022 : l’année idéale pour acheter un appartement à Paris ?

Un immobilier de luxe toujours très dynamique

Si vous cherchez un appartement de luxe à Paris, 2022 peut être votre année : il y a des offres et des personnes qui vendent, parce qu’elles savent qu’on trouve une véritable demande sur le marché. Cela dit, les maisons spacieuses ainsi que les logements avec un jardin sont extrêmement prisés, les candidatures sont généralement très nombreuses pour un même bien et il peut être difficile de faire monter son dossier en haut de la pile. Plus que jamais, si vous rêvez d’un hôtel particulier ou d’un appartement de caractère à Paris, vous avez tout intérêt à solliciter l’aide de chasseur d’appartement HOME SELECT.

 

Des appartements modestes plus abordables

Sur cette même période, alors que l’immobilier de luxe parisien flambe, les appartements entre 1 et 2 million(s) d’euros fléchissent légèrement, notamment parce qu’une partie de la population avec des ressources intermédiaires vise plutôt les logements hors de Paris, voire ailleurs qu’en Île-de-France. La tension reste palpable : les biens partent généralement assez vite, car il y a toujours trop peu d’offres pour répondre aux demandes. Malgré tout, si vous avez besoin d’un appartement de 150 mètres carrés ou même moins sur Paris, c’est le moment d’investir. Le contexte actuel vous permet d’avoir un peu plus de pouvoir qu’avant, puisqu’il y a une timide baisse d’attractivité… Par exemple, il peut devenir possible de négocier certaines offres, à condition de rester raisonnable.

 

Quel que soit votre projet, l’accompagnement reste de mise !

À Paris, plus que dans n’importe quelle autre ville de France, il reste particulièrement difficile de trouver les annonces de biens immobiliers en vente, surtout quand on cherche des logements d’exception et des prestations très enviées. C’est la raison pour laquelle il est préférable de faire appel à des experts dans le domaine : faites-vous accompagner par un chasseur de bien HOME SELECT. Nous pouvons vous faire accéder à des offres en off-market, mais aussi vous aider à négocier et à consolider votre dossier, tout en vous proposant un vaste panel de services, personnalisables selon vos besoins (aide à l’emménagement, inscription des enfants dans la nouvelle école, etc.).

Prix immobilier à Paris au 08 Décembre 2021 : QUELLES PERSPECTIVES POUR LES CRÉDITS IMMOBILIERS EN 2022 ?

Beaucoup de personnes envisagent d’effectuer un achat immobilier en 2022, et donc de contracter un prêt cette même année : le contexte est-il favorable aux acquéreurs ? Est-ce le moment de se lancer pour faire de bonnes affaires ? Afin de connaître toutes les données du marché, n’hésitez pas à demander l’accompagnement d’un chasseur de bien professionnel. Non seulement il vous aidera à trouver l’offre répondant à toutes vos attentes, mais il pourra aussi vous aider à obtenir le prêt dans les meilleures conditions.

 

Une hausse des taux possible ? 

Tout au long de l’année 2021, les acquéreurs ont pu profiter d’un marché des crédits immobiliers nettement favorable. D’ici décembre, le marché a été tellement dynamique qu’on devrait aller au-delà de 220 milliards d’euros empruntés, pour quelque 1 200 000 transactions.

Bien que les revenus moyens des acheteurs aient légèrement baissé par rapport à l’année 2020, les taux des intérêts stagnent à un niveau particulièrement bas. Dans ce contexte, même les foyers les plus modestes parviennent à investir assez facilement, s’ils peuvent montrer qu’ils ont un dossier solide et des revenus réguliers.

D’après les experts, ces taux exceptionnellement bas pourraient de nouveau augmenter dès l’année prochaine, en 2022. En cause, l’inflation qui pourrait se répercuter sur les taux : ces derniers pourraient progresser d’approximativement 0,15 %, selon Sophie Ho Tong, directrice stratégie et communication de Finance Conseil.

En parallèle de cette légère croissance des taux dans la sphère du crédit immobilier, les tarifs des biens risquent également d’augmenter d’environ 2 %. Les conditions seront – en théorie – un peu moins bonnes qu’en 2021 pour acheter si ce scénario se confirme… Mais les taux des crédits immobiliers, même s’ils croissent timidement, vont demeurer attractifs pendant encore quelque temps.

 

Des conditions plus favorables grâce à la suppression des questionnaires de santé

Si les prix des biens immobiliers augmentent et que les intérêts sur les emprunts gonflent dans le même mouvement, certains acquéreurs risquent de redouter de se lancer, par peur que cela leur revienne trop cher. Mais il faut savoir que sur le front du crédit hypothécaire, il y a aussi de bonnes nouvelles qui devraient motiver de nombreuses familles.

Début novembre 2021, on apprenait que le Crédit Mutuel et le CIC avaient décidé de supprimer le questionnaire de santé, pour tous leurs clients qui souhaitent contracter un prêt dans le but d’investir dans une résidence principale.

Le but ? Proposer un crédit plus solidaire, et sans discrimination liée à la santé. Par cette action, la banque se place comme une structure qui accepte de mutualiser les risques, et qui développe une véritable protection face à des événements aussi indésirables que la maladie, l’invalidité ou même le décès.

Bien évidemment, les crédits sans questionnaires de santé ne seront pas accessibles à tous : ils seront commercialisés sous certaines conditions. Pour en profiter, il faudra être client domicilié au Crédit Mutuel depuis minimum 7 ans, avoir moins de 62 ans et acheter une maison utiliser à titre de résidence principale. Dans le cadre de ce dispositif, les bénéficiaires pourront obtenir jusqu’à 500 000 € d’emprunt sans délivrer d’informations sur leur santé.

Mieux encore, pour les clients qui auraient déjà bénéficié d’un emprunt avec le Crédit Mutuel et dont l’assurance ferait l’objet d’une exclusion liée à la santé, celle-ci sera supprimée dès le 1er décembre 2021, dans un souci d’égalité entre tous les clients.

Cette première initiative pourrait bien motiver d’autres banques à réaliser des gestes similaires, pour répliquer face à la concurrence. Par la suite, plusieurs Français pour lesquels il était compliqué d’emprunter en raison de problèmes de santé auront l’opportunité d’enfin concrétiser leur projet en 2022, et ceci sans aucun surcoût lié à l’assurance.

 

Un changement d’assurance plus facile ?

Fin septembre 2021, la députée Patricia Lemoine a déposé une proposition de loi formulée avec le groupe Agir Ensemble, dans le but d’aider les Français à choisir plus aisément leur organisme d’assurance pour couvrir les crédits qu’ils contractent.

Ce texte a été élaboré spécifiquement pour que l’on puisse changer d’assurance de prêt facilement, et que l’on reste bien protégé ensuite. Seulement, quelques semaines plus tard, à la fin du mois d’octobre, cette proposition a déjà été revue : certains paragraphes rédigés pour que les emprunteurs soient mieux informés ont été supprimés, et d’autres pour simplifier l’accès aux personnes avec des soucis de santé ont été ajoutés.

À l’heure actuelle, les acquéreurs qui souhaitent faire des économies sur l’assurance de prêt peuvent en changer dans les 12 mois qui suivent le crédit avec la loi Hamon. Pour ceux qui ont dépassé ce délai, il est encore envisageable de miser sur la loi Bourquin, sachant que celle-ci nécessite d’attendre l’échéance (une fois par an) pour pouvoir changer de compagnie d’assurance.

Entre les différentes lois qui existent et les possibles dates d’échéance à respecter, le changement d’assurance de prêt représente aujourd’hui encore un véritable casse-tête. Le projet de loi Lemoine, quant à lui, vise à simplifier drastiquement les démarches, en donnant le droit de changer d’assurance à tout moment, tout au long du crédit et sans aucune contrainte de date.

La loi Lemoine est encore en discussion, et les textes sont régulièrement modifiés par les différents acteurs qui travaillent sur le sujet. Mais si elle est amenée à se concrétiser, elle permettra à de nombreux Français de faire davantage d’économies sur leur crédit immobilier, et de gagner du pouvoir d’achat chaque mois.

 

Achat immobilier 2022, faites appel à un chasseur de bien

En 2022, comme toutes les années précédentes, HOME SELECT se tient à votre disposition pour vous accompagner dans votre projet d’achat immobilier. Nous vous aidons à connaître toutes les offres disponibles à Paris, y compris celles qui sont en off-market, les plus confidentielles et les plus difficiles d’accès. Grâce à notre large carnet d’adresses, nous pouvons faire le nécessaire afin de vous aiguiller à chaque étape du projet, et nous pouvons vous mettre en relation avec des partenaires courtiers qui vous permettront de négocier correctement votre emprunt.

Prix immobilier à Paris au 21 Novembre 2021 : PREMIER SEMESTRE 2021, LES VENTES DANS L’IMMOBILIER DE LUXE BATTENT DES RECORDS

Dans un contexte où l’épidémie de Covid-19 pèse toujours sur le marché de l’immobilier, les professionnels du secteur ont pendant longtemps redouté l’absence des investisseurs étrangers, habituellement prêts à payer le prix fort pour un immobilier de luxe à Paris. Mais contre toute attente, les acheteurs français ont bien été au rendez-vous ces derniers mois, et le marché a même connu une progression historique. Le retour des acheteurs venus du monde entier, grâce au vaccin et à la mise en place de ventes à distance, va sans aucun doute contribuer à dynamiser encore plus cette sphère pour la 2e partie de l’année.

 

151 % de progression pour les biens immobiliers de luxe début 2021 à Paris

D’après Charles Marie Jottras (président de Daniel Féau) et le réseau Belles Demeures, le premier semestre 2021 a été très fructueux concernant l’immobilier de luxe à Paris. Plus que jamais, les beaux intérieurs dans des hôtels particuliers ont trouvé preneur, malgré l’absence des investisseurs étrangers liée à la Covid-19.

Entre janvier et juin 2021, le montant cumulé des ventes dépassant 3 millions d’euros a augmenté de 151 % par rapport au premier semestre 2019 (sachant que cette période était déjà excellente, puisque nous n’étions pas impactés par le virus).

Les chiffres étaient déjà bons au premier trimestre, après mars 2021 : la hausse était alors de 74 %, par rapport à la moyenne des trois premiers trimestres des trois années précédentes. 

Habituellement, ce sont surtout les Américains qui font vivre le marché. Au début de cette année, ceux-ci étaient presque complètement absents en raison des mesures sanitaires. Les professionnels ont pu profiter d’un timide retour de la clientèle du Moyen-Orient, et plus spécifiquement du Liban, mais ce sont avant tout les acheteurs français qui ont permis de battre ces records. 

 

De nombreux arrondissements et quartiers toujours très prisés

Plusieurs secteurs de Paris tirent leur épingle du jeu dans ce contexte propice aux achats luxueux. À titre d’exemple, le 7e reste l’un des plus chers, dépassant les 14 500 € par mètre carré. D’après plusieurs professionnels de l’immobilier interrogés à ce sujet, le marché est très dynamique ici, et la reprise a permis de compenser les périodes plus calmes pendant les confinements. On affirme même que, souvent, sur les biens de prestige, on excède les 20 000 € par mètre carré en vente.

L’arrondissement du Luxembourg, ou le 6e, fait également partie des territoires les plus propices aux ventes dans l’immobilier de luxe à Paris. Entre le Sénat et son palais au jardin du Luxembourg, le pont des Arts et les magnifiques demeures de la rue de Vaugirard, les acquéreurs sont nombreux à plébisciter ce territoire plus que les autres. 

Un autre arrondissement se porte particulièrement bien dans le domaine du luxe : le 16e, verdoyant avec son bois de Boulogne, charismatique avec son Trocadéro et sportif avec son stade Roland-Garros ainsi que son parc des Princes. Réputé pour ses consulats et ses ambassades, ce quartier concentre beaucoup de superbes constructions dans lesquelles nous ne sommes jamais à l’abri de surprises : appartements modernes refaits avec goût, cachet de l’ancien, terrasses, généreuses hauteurs sous plafond, suites parentales… Rien n’est trop beau pour faire monter les enchères et attirer les acquéreurs en quête d’un sublime appartement dans la capitale.

 

Ces villes de banlieue très actives dans l’immobilier de luxe

L’immobilier de luxe ne se concentre pas uniquement sur Paris, même si beaucoup souhaitent privilégier les arrondissements intra-muros pour leur investissement. Au-delà des arrondissements qui se portent très bien, on note par ailleurs une forte hausse des transactions dans le luxe à Neuilly, mais aussi à Saint-Cloud et Versailles. Ces villes situées dans la banlieue ouest plaisent, parce qu’elles restent très bien desservies par les transports en commun, proches de Paris, et qu’elles permettent parfois d’accéder à des prestations que l’on ne trouve pas dans Paris : une grande maison familiale avec jardin, un espace pour stationner un ou des véhicule(s), etc.

À Neuilly-sur-Seine, on trouve de charmants immeubles en pierre de taille à l’intérieur desquels sont aménagés des appartements bourgeois splendides. Ils incluent volontiers des pièces de réception spacieuses, plusieurs suites, des terrasses accessibles depuis les suites ou même des petits plus tels qu’un dressing, une buanderie, ou même des pièces habillées d’un parquet en bois massif.

Sur la commune de Saint-Cloud, les investisseurs se prennent à rêver d’une belle maison contemporaine avec jardin, quelque chose de plus difficile à trouver sur Paris. Certaines se vendent facilement au-delà de 3 millions d’euros, surtout quand elles sont spacieuses et aménagées avec goût. 

Entre le quartier Saint-Louis, celui de Notre-Dame ou encore du Chesnay, Versailles cache aussi de sympathiques surprises en termes de biens luxueux. Là encore, la possibilité d’emménager dans une maison attire davantage de monde, tout comme la présence d’un environnement verdoyant, plus paisible qu’en cœur de Paris.

L’attrait de la banlieue, et plus particulièrement de quelques villes cossues, n’existe pas au détriment du marché parisien. Les deux secteurs se complètent, et ne séduisent pas forcément les mêmes profils d’investisseurs.

 

Trouver un immobilier de luxe à Paris, toujours un défi

Si vous effectuez quelques recherches sur Internet, vous pouvez être amené à trouver des annonces d’appartement de luxe en vente à Paris. Seulement, si vous cherchez à les visiter, vous risquez de rapidement vous apercevoir qu’ils ne sont plus disponibles, car ces biens peuvent être très convoités et vite pris d’assaut par une clientèle prête à tout pour concrétiser ses rêves.

Afin de vous donner toutes les chances d’acheter un bel appartement à Paris, vous ne pouvez pas uniquement miser sur les annonces visibles, sachant que de très nombreuses transactions se font en off-market, à l’abri des regards indiscrets. Dans l’univers de l’immobilier de luxe, on souhaite parfois aussi préserver l’intimité des propriétaires, en évitant de poster sur Internet des annonces avec des photos du bien et son prix. C’est la raison pour laquelle vous avez tout intérêt à faire appel à un chasseur d’appartement HOME SELECT pour votre projet. Nous vous aiderons à identifier l’offre répondant à tous vos critères, nous solliciterons tout notre réseau pour vous et nous ferons preuve de réactivité… Là où certains particuliers seuls voient passer des annonces et ne trouvent pas le temps pour visiter, nous savons faire preuve de méthode et de rapidité !

Prix immobilier à Paris au 08 novembre 2021 : BAISSE DU PRIX DES APPARTEMENTS À PARIS : C’EST LE MOMENT DE CONCRÉTISER !

Le marché de l’immobilier parisien est toujours aussi tendu : la demande demeure bien plus importante que l’offre, raison pour laquelle les acheteurs se trouvent en position de faiblesse et perdent parfois patience. Mais tout n’est pas désespéré : on remarque aussi que les prix des grands appartements baissent légèrement, pour plusieurs raisons essentiellement conjoncturelles… Alors si vous rêvez d’un appartement familial au cœur de la capitale, c’est le moment où jamais de vous lancer : faites-vous accompagner d’un chasseur d’appartement pour décupler vos chances d’emménager dans le logement remplissant tous vos critères.

Moins d’acheteurs pour les grands appartements à Paris

La crise liée à l’épidémie de Covid-19 a complètement bouleversé nos modes de vie, et elle a naturellement des répercussions importantes sur le marché de l’immobilier : on remarque que beaucoup de personnes souhaitent acheter, parce que les confinements successifs leur ont fait prendre conscience des faiblesses et des points négatifs de leur logement actuel.

En parallèle, la possibilité de recourir plus souvent au télétravail change la donne, puisque beaucoup n’ont plus l’obligation de choisir un appartement ou une maison proche de leur bureau. En toute logique, les biens les plus prisés sont les maisons avec un extérieur, et cela ne dérange pas les familles de quitter Paris pour venir en périphérie, afin d’avoir davantage d’espace et surtout un balcon ou, mieux encore, un jardin.

Ainsi, si on remarque une timide baisse des prix de l’immobilier partout à Paris (d’environ 0,6 % entre mars 2020 et septembre 2021), celle-ci est beaucoup plus forte sur les grands logements. En effet, tandis que les petits studios et les deux pièces ont légèrement augmenté (+ 0,2 %), les tarifs des grands logements ont chuté de 1,6 % sur la même période.

 

La pandémie a profondément bouleversé l’immobilier parisien, et cela peut vous profiter !

Avant l’épidémie de Covid-19 et les confinements, les grands appartements parisiens de plus de 100 mètres carrés se vendaient généralement très vite, rarement en plus de deux semaines, et souvent en off-market. Pour un même bien, de nombreuses candidatures arrivaient rapidement, les propriétaires avaient l’embarras du choix… Et acheter à Paris devenait réellement compliqué pour les familles nombreuses.

Alors même que 40 % des grands logements étaient vendus à leur prix initialement affiché avant les confinements, ce taux est tombé à environ 25 % aujourd’hui. Du côté des acquéreurs, cela signifie qu’il y a davantage de possibilités et plus de souplesse d’une manière générale dans les négociations.

Les arrondissements dans lesquels les prix des grands appartements ont le plus chuté sont le 1er et le 8e, des quartiers qui font partie des plus chers. En ce sens, s’ils étaient un peu trop onéreux pour votre budget il y a quelques mois ou années, ces secteurs peuvent devenir abordables pour vous aujourd’hui, grâce à la légère diminution des prix qui s’y observe. Bien évidemment, il faut garder en tête que l’on parle ici de logements spacieux dans des quartiers très prisés : bien qu’ils aient baissé, les tarifs restent élevés sur ce marché. Mais puisque la tension est moins importante, des opportunités intéressantes à saisir se trouvent plus facilement à l’heure actuelle.

 

Comment négocier l’achat d’un appartement familial à Paris ?

En moyenne, d’après les professionnels de l’immobilier, un grand appartement à moins de 800 000 € est vendu en un mois – mais pour les logements plus grands et plus chers encore, entre 800 000 et un million d’euros, il faut généralement compter près de deux mois pour finaliser la vente (contre une quinzaine de jours seulement avant la pandémie, pour rappel).

Puisque les acheteurs sont moins nombreux à se manifester, vous avez plus de chances de voir votre candidature retenue et de parvenir à trouver l’appartement familial qu’il vous faut à Paris. Vous pouvez même tenter une offre d’achat inférieure au prix demandé, cela peut fonctionner car la tension a baissé.

Toutefois, l’achat d’un appartement parisien reste complexe : afin de vous aider à le concrétiser, n’oubliez pas que vous pouvez vous faire accompagner d’un chasseur d’appartement HOME SELECT. Nous connaissons très bien le marché, les quartiers sur lesquels nous travaillons et les tendances qui se modifient en fonction de l’actualité : nous saurons vous aiguiller pour identifier les offres les plus intéressantes, et nous vous dirons si la négociation est possible ou pas.

Car si vous tentez une négociation sur un bien plus prisé, votre candidature risque de passer derrière celles d’autres personnes qui achètent au prix de vente : n’oubliez pas cela quand vous souhaitez transmettre une offre. À l’inverse, il serait dommage de renoncer à une négociation dans le cas où votre proposition a toutes les chances d’être acceptée. Pour savoir de quelle manière vous positionner en fonction du marché et du bien, demandez les conseils d’un chasseur de bien dont c’est le métier.

 

Les principaux critères sur lesquels s’appuyer pour négocier un appartement familial

Afin de revoir le prix d’un appartement à la baisse, vous pouvez utiliser plusieurs arguments. Si vous savez qu’il est en vente depuis un certain temps, tentez simplement une offre à un prix inférieur. Si les propriétaires sont pressés d’en finir avec ce projet, ils seront à même d’accepter votre proposition. Parfois, l’information sur la date de mise en vente du bien est facilement accessible : on vous la transmet au moment de le visiter ou de prendre contact avec l’agence. Mais dans certains cas, sachant que cela peut être un point faible, on dissimule cette réalité pour éviter des offres qui cherchent à baisser le prix. Soyez à l’affût des détails qui peuvent montrer que la vente est ancienne : par exemple, si les photos semblent avoir été effectuées à une autre saison, quand les arbres étaient fleuris alors que vous êtes en plein hiver (et inversement).

Quoi qu’il en soit, appuyez-vous toujours sur des arguments objectifs pour négocier : des charges de copropriété importantes, des travaux à prévoir, une mauvaise isolation ou encore un vis-à-vis. Restez toujours courtois si vous négociez devant le propriétaire actuel : n’oubliez pas que vous parlez de son patrimoine et potentiellement de choix d’aménagement qu’il a opérés. Si le contexte se prête davantage à la négociation dans la sphère des beaux appartements parisiens, c’est aussi le moment de se faire entourer de professionnels compétents pour concrétiser votre projet : pensez à HOME SELECT !

Prix immobilier à Paris au 14 Novembre 2021 : VENTES PLUS RAPIDES, PÉNURIE DE BIENS ET RETOUR EN FORCE DES PRIMO-ACCÉDANTS : L’IMMOBILIER NE CONNAÎT PAS LA CRISE

Si l’immobilier à Paris se portait particulièrement bien avant l’épidémie de Covid-19, ce secteur économique fait partie des rares privilégiés n’ayant pas souffert de la pandémie et des confinements successifs. Bien que l’été 2021 ait été plutôt calme, les professionnels du milieu identifient une reprise très dynamique depuis la rentrée. En effet, beaucoup de personnes sont dans une dynamique de changement de mode de vie, après des mois de télétravail qui ont remis beaucoup de choses en question. Alors même que les ventes de maisons battent régulièrement des records, on observe aussi que les primo-accédants reviennent en force sur le marché… Autant de facteurs prouvant la bonne santé du secteur !

 

Avec la rentrée, une reprise très dynamique pour les professionnels de l’immobilier

La dynamique de changement de vie que l’on ressentait énormément pendant et après les confinements continue de booster le marché de l’immobilier. Les ventes sont tellement rapides qu’on peine à croire à une tendance éphémère : les Français ont bien profité du télétravail et du changement de leur quotidien pour donner vie à de nouveaux projets, souvent autour de l’immobilier et de l’agrandissement de la résidence principale.

Aujourd’hui encore, malgré les vaccins et l’amélioration de la situation sanitaire, la menace des variants pèse sur les consciences, et un climat d’insécurité demeure présent. C’est la raison pour laquelle les consommateurs continuent de miser sur des valeurs qui leur semblent sûres, comme c’est le cas des investissements immobiliers.

Ce contexte profite clairement aux professionnels de l’immobilier, qui s’attendent déjà à une excellente année 2021. Du côté des particuliers, la tension est palpable : pour avoir toutes les chances d’acheter, il faut plus que jamais être réactif et avoir un bon dossier. De plus en plus de biens sont vendus en off-market, sans publication d’annonce, parce que les agences peuvent déjà compter sur leur réseau et leur portefeuille clients pour trouver des acquéreurs. Ces derniers sont clairement en compétition les uns avec les autres, face à des vendeurs qui demeurent en position de force. Il faut être capable de séduire le propriétaire – et parfois de surenchérir – pour réussir à acheter.

 

Le boom des maisons et des terrains à bâtir

Avant le Covid-19, les maisons représentaient environ 57 % des recherches… Mais elles concernent 68 % des projets en 2021, sans compter que les terrains à bâtir sont de plus en plus plébiscités. En deux ans, on a observé une hausse de plus de 66 % dans la recherche de maisons, et plus de 57 % d’augmentation également pour les terrains à bâtir.

Toutes les régions françaises sont concernées par cet engouement pour les maisons familiales avec un espace extérieur, mais la tendance est encore plus marquée en Île-de-France, où les confinements ont été plus difficiles à vivre. 

Est-ce qu’il y aura suffisamment de maisons pour répondre à toutes ces demandes ? Force est de constater que nous sommes dans une situation de pénurie, où le parc ne suffit pas pour concrétiser tous les projets. Malgré tout, on observe aussi que le développement du télétravail permet d’étendre la zone sur laquelle on cherche à se loger. Ainsi, beaucoup de Franciliens acceptent de quitter Paris, et même de sortir de leur région, pour aller télétravailler à la campagne dans une plus grande habitation. 

En ce sens, les recherches de maisons dans tous les départements limitrophes de Paris ont augmenté de plus de 71 % entre 2019 et 2021.

 

Le réveil des primo-accédants galvanise un marché immobilier déjà au plus haut

Alors même que tous les feux sont au vert dans le secteur de l’immobilier, un autre facteur tend à rendre le marché encore plus saturé : les jeunes sont de plus en plus nombreux à vouloir eux aussi devenir propriétaires.

Partout en France, c’est en région parisienne que l’on trouve le plus de personnes avouant avoir un projet immobilier pour les 12 prochains mois : ce taux est évalué à 22 %, contre 16 % de moyenne nationale.

Ce qui étonne davantage, c’est que 42 % des personnes souhaitant acheter dans les 12 mois sont des primo-accédants. Cette proportion atteint un niveau particulièrement haut, semblable à celui d’avant la crise sanitaire.

Parallèlement, notons que les personnes souhaitant se lancer ne sont pas forcément très riches : 6 acheteurs sur 10 ont des revenus inférieurs à 2 500 €.

 

Des projets difficiles à mener et la nécessité d’avoir une aide professionnelle

Pour environ deux Français sur trois, il est actuellement compliqué de concrétiser un projet immobilier. Bien évidemment, les personnes qui ressentent le plus de difficultés sont les primo-accédants ainsi que les moins de 35 ans. Cependant, tous les profils avec des revenus modestes, en dessous de 2 500 €, rencontrent globalement des difficultés face à la concurrence des ménages plus aisés.

Plus que jamais, pour pouvoir changer de vie, vous devez vous faire accompagner de professionnels. Chez HOME SELECT, nous avons su nous adapter aux évolutions liées à la crise sanitaire, pour offrir l’aide la plus personnalisée à tous nos clients.

Nous n’hésiterons pas à tout mettre en œuvre pour trouver le bien répondant à vos attentes, nous sommes en mesure de réaliser toutes les visites à votre place pour vous éviter des déplacements et nous vous proposons même la mise en relation avec d’autres partenaires si nécessaire (courtiers pour le prêt, artisans pour les rénovations, etc.).

D’après Frédéric Violeau, membre du Conseil supérieur du notariat à Caen, c’est la première fois que les prix des maisons augmentent plus que ceux des appartements, ce qui montre bien qu’il y a de nouvelles tendances en 2021. Alors si vous voulez une maison ou un appartement avec balcon ou terrasse, gardez à l’esprit que ce sont des biens extrêmement rares et difficiles à trouver, d’où l’importance de savoir vous entourer des bons chasseurs d’appartements ! 

Pour conclure, les sondages prouvent aussi qu’une bonne part de la population pense que son pouvoir d’achat va s’améliorer d’ici à la fin de l’année, ce qui constitue un signe de bonne santé dans notre économie et dans l’immobilier… La tension risque d’être palpable pendant encore un bon moment.

Prix immobilier à Paris au 30 Août 2021 : PLUS D’UN AN APRÈS LE PREMIER CONFINEMENT, FOCUS SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER PARISIEN « POST COVID »

Dès les premiers mois du confinement il y a plus d’un an, on a observé de nouvelles tendances sur le marché de l’immobilier parisien : la recherche de surfaces plus grandes, d’espaces extérieurs, ou encore le recours aux démarches dématérialisées pour s’adapter aux protocoles sanitaires. Plus d’un an après l’instauration des premières restrictions, quelles sont les conséquences de cette crise sur le moyen terme ? De nouvelles perspectives semblent se dessiner, et certains phénomènes s’intensifient ou évoluent : explications.

 

Un timide fléchissement des prix, sans scénario privilégié pour la suite

Au premier confinement, les professionnels de l’immobilier ont dû s’adapter à un contexte totalement inédit : face à l’interdiction de se déplacer sans raison justifiée, il n’était plus possible d’organiser de visites ou de rencontrer directement les clients. En toute logique, les transactions ont été moins nombreuses pendant le premier confinement, dans une France presque à l’arrêt.

Mais dès lors que les restrictions se sont allégées, le marché a repris très vite, et le retard cumulé sur plusieurs semaines a été rapidement rattrapé. Alors même que l’on pouvait penser à une baisse des prix sur Paris, on constate finalement que sur le moyen terme, la stabilité reste au rendez-vous.

En effet, les tarifs de l’immobilier à Paris ont timidement baissé pour la première fois depuis des années fin 2020. Si certains sont convaincus que ce phénomène résulte de la pandémie, d’autres avancent aussi qu’après des hausses continuelles, un léger fléchissement était prévisible. Fin 2020, beaucoup de personnes se demandaient si cette petite baisse allait s’intensifier… Après avoir identifié une légère reprise à la fin du printemps 2021, les chiffres semblent continuer de baisser timidement au début de l’été. Sur une année glissante, les tarifs ont baissé de 2,2 % en moyenne sur la capitale : vont-ils encore décroître et passer sous la barre symbolique des 10 000 € par mètre carré ? Sachant qu’on se situe aujourd’hui autour de 10 300 € le mètre carré, les professionnels n’écartent aucun scénario pour les prochains mois. Malgré tout, les Français continuent de considérer l’immobilier comme une valeur sûre… Ce qui les encourage à concrétiser leurs projets, à Paris comme partout ailleurs !

Enfin, on s’aperçoit qu’après la crise sanitaire, les écarts se creusent entre les quartiers centraux de Paris, plus chers et toujours très recherchés, et ceux qui se trouvent en périphérie, là où il est encore possible d’acheter pour moins de 10 000 € par mètre carré.

 

Une hausse des mises en vente de commerces et restaurants

Dès les premiers mois du confinement il y a plus d’un an, on a observé de nouvelles tendances sur le marché de l’immobilier parisien : la recherche de surfaces plus grandes, d’espaces extérieurs, ou encore le recours aux démarches dématérialisées pour s’adapter aux protocoles sanitaires. Plus d’un an après l’instauration des premières restrictions, quelles sont les conséquences de cette crise sur le moyen terme ? De nouvelles perspectives semblent se dessiner, et certains phénomènes s’intensifient ou évoluent : explications.

Au premier confinement, les professionnels de l’immobilier ont dû s’adapter à un contexte totalement inédit : face à l’interdiction de se déplacer sans raison justifiée, il n’était plus possible d’organiser de visites ou de rencontrer directement les clients. En toute logique, les transactions ont été moins nombreuses pendant le premier confinement, dans une France presque à l’arrêt.

Mais dès lors que les restrictions se sont allégées, le marché a repris très vite, et le retard cumulé sur plusieurs semaines a été rapidement rattrapé. Alors même que l’on pouvait penser à une baisse des prix sur Paris, on constate finalement que sur le moyen terme, la stabilité reste au rendez-vous.

En effet, les tarifs de l’immobilier à Paris ont timidement baissé pour la première fois depuis des années fin 2020. Si certains sont convaincus que ce phénomène résulte de la pandémie, d’autres avancent aussi qu’après des hausses continuelles, un léger fléchissement était prévisible. Fin 2020, beaucoup de personnes se demandaient si cette petite baisse allait s’intensifier… Après avoir identifié une légère reprise à la fin du printemps 2021, les chiffres semblent continuer de baisser timidement au début de l’été. Sur une année glissante, les tarifs ont baissé de 2,2 % en moyenne sur la capitale : vont-ils encore décroître et passer sous la barre symbolique des 10 000 € par mètre carré ? Sachant qu’on se situe aujourd’hui autour de 10 300 € le mètre carré, les professionnels n’écartent aucun scénario pour les prochains mois. Malgré tout, les Français continuent de considérer l’immobilier comme une valeur sûre… Ce qui les encourage à concrétiser leurs projets, à Paris comme partout ailleurs !

Enfin, on s’aperçoit qu’après la crise sanitaire, les écarts se creusent entre les quartiers centraux de Paris, plus chers et toujours très recherchés, et ceux qui se trouvent en périphérie, là où il est encore possible d’acheter pour moins de 10 000 € par mètre carré.

La réouverture des commerces non essentiels et des restaurants courant 2021 n’a pas suffi pour certains établissements, trop fragilisés par des mois de restrictions et de fermeture imposée. Dans certains secteurs comme celui de la rue de Rivoli, du boulevard Haussmann, de la rue Saint-Honoré ou de l’avenue des Champs-Élysées, on détecte une hausse des mises en vente, notamment dans l’univers de l’habillement.  

Les mises en vente de restaurants ont également augmenté, surtout dans les secteurs des 9e, 11e et 17e arrondissements. En effet, si certains ont réussi à tirer leur épingle du jeu pendant les confinements avec la vente à emporter, d’autres ont peiné à rentrer dans leurs frais, malgré les aides financières. 

Dans différents quartiers commerçants ou festifs, on pourrait donc assister très prochainement à une forme de renouveau, avec l’arrivée de nouveaux établissements. D’autres secteurs, comme celui de la Rive gauche, semblent davantage préservés : les mises en vente de locaux commerciaux y sont plus rares qu’ailleurs.

 

L’envie de vivre en maison, même en région parisienne, toujours plus forte

Nous n’avons jamais passé autant de temps chez nous qu’en 2020 et au début de l’année 2021. Cette réalité a naturellement poussé énormément de Français à se poser des questions sur leur logement… Et beaucoup ont ressenti des envies d’ailleurs !

Dès le premier confinement, on a observé que les Parisiens étaient de plus en plus nombreux à souhaiter déménager dans un logement plus grand, si possible avec un espace extérieur. La généralisation du télétravail a permis d’élargir le champ de recherche, ce qui a incité les familles à s’éloigner un peu de Paris pour vivre dans une maison, idéalement en petite couronne.

D’après une étude menée par Le Figaro Immobilier, depuis la crise sanitaire, le prix reste le premier critère qui compte pour les acquéreurs. Mais il est suivi de très près par la localisation, le jardin et la surface. Ces deux dernières caractéristiques tendent à devenir de plus en plus importantes… Et beaucoup sont prêts à payer plus cher pour concrétiser leurs souhaits.

 

Une pénurie préoccupante dans l’univers de l’immobilier neuf

Ce phénomène ne touche pas Paris même, puisque les programmes immobiliers neufs y sont extrêmement rares depuis toujours, faute d’espace disponible. En revanche, dans certaines villes de petite couronne très recherchées, on constate une véritable pénurie de logements neufs.

En effet, différents projets ont été retardés pendant les confinements, sans compter que l’on a aussi observé une baisse des permis de construire et même une requalification de certains projets immobiliers après l’arrivée de nouvelles personnes au pouvoir dans les Mairies (suite aux élections municipales).

Finalement, en 2020, les promoteurs immobiliers ont vendu 40 000 logements de moins qu’en 2020. Ainsi, ils ont perdu environ 25 % de leur activité habituelle, selon Le Figaro Immobilier.

 

Une digitalisation qui se confirme

Avant les premiers confinements, on avait déjà tendance à mettre en place de nouvelles pratiques pour faciliter la vie des acquéreurs : dématérialisation des démarches, visites virtuelles en trois dimensions sur Internet, etc.

La crise sanitaire a nettement accéléré la progression du digital dans nos vies de manière générale, et plus particulièrement dans le secteur de l’immobilier. Concrètement, les professionnels se sont adaptés : par exemple, en avril 2020, un décret a rendu possible la signature électronique à distance, afin d’éviter un arrêt total dans le marché de l’immobilier.

On réalise aussi de plus en plus de ventes à distance : depuis longtemps déjà, les acquéreurs peuvent solliciter des chasseurs de bien comme HOME SELECT pour concrétiser leur projet sans venir à Paris. Aujourd’hui, même des personnes géographiquement proches font parfois aussi le choix d’acheter sans se déplacer, afin de respecter les gestes barrières.

À Paris, le marché de l’immobilier reste très tendu dans ce contexte post-Covid : la demande est toujours supérieure à l’offre, surtout quand on souhaite un logement spacieux, un espace extérieur ou encore une maison. Plus que jamais, pour un projet d’achat, il est judicieux de faire appel aux services d’un chasseur d’appartement !

Prix immobilier à Paris au 15 mai 2021 : LA BAISSE DES PRIX DE L’IMMOBILIER SE CONFIRME : C’EST LE MOMENT DE NÉGOCIER

La tendance qui s’observait à la fin de l’année 2020 sur Paris se confirme en 2021 : après un ralentissement de la hausse des prix et une stagnation, les tarifs de l’immobilier diminuent légèrement dans la capitale. D’après les statistiques de PriceHubble, presque tous les quartiers sont concernés, hormis quelques arrondissements où l’on note encore une timide hausse. Face à ce contexte inédit, pour l’acheteur, de nouvelles opportunités peuvent se présenter. En effet, bien que le marché reste très tendu, il peut être pertinent de profiter de ce retournement de situation pour mieux négocier son achat, dans la mesure du raisonnable.

 

Un contexte inédit à Paris : première baisse significative des prix depuis 5 ans

Ces 5 dernières années, entre 2015 et 2020, les prix des biens immobiliers en vente sur Paris ont continuellement augmenté. Très concrètement, selon Thomas Lefebvre, directeur scientifique de Meilleursagents.com, « le marché a progressé de plus de 30 % »… soit 6 à 7 % de progression chaque année.

En moyenne, un appartement ancien à Paris se vendait à 10 850 € le mètre carré en novembre 2020, contre 10 600 € en avril 2021. De plus, PriceHubble a passé au peigne fin plus de 90 000 annonces de biens anciens en vente au premier trimestre 2021, pour en arriver à une conclusion sans appel : les tarifs moyens ont diminué d’environ 2 % sur cette période. Cette réalité semble concerner presque tous les secteurs de la capitale, bien que l’on note tout de même une hausse de 0,7 % sur un an dans le 8e arrondissement, et une augmentation de 1,4 % dans le 18e arrondissement.

Les arrondissements ayant vécu la baisse de prix la plus significative sont ceux réputés « bon marché » : – 4,6 % dans le 13e, -4 % dans le 6e et -3,9 % dans le 19e, par exemple. La tendance pourrait se confirmer ces prochains mois, pour plusieurs raisons évidentes : les acquéreurs en quête d’un appartement à Paris peuvent profiter de ce contexte pour tirer leur épingle du jeu.

 

Pourquoi les prix de l’immobilier baissent-ils à Paris ?

La baisse des tarifs pratiqués dans l’immobilier à Paris découle essentiellement de la crise sanitaire actuelle et des confinements successifs . En effet, beaucoup de Franciliens éprouvent le besoin de résider dans des logements plus spacieux, si possible avec une terrasse et un jardin. Conscients qu’il est particulièrement difficile de concrétiser ces projets dans la capitale, ils n’hésitent pas à s’excentrer légèrement, pour emménager dans une maison en petite couronne, par exemple.

Le développement du télétravail tend à renforcer ce phénomène : auparavant, beaucoup de personnes tenaient à vivre sur Paris, pour ne pas avoir à effectuer un trajet trop long chaque matin et chaque soir entre la maison et le bureau. Aujourd’hui, de nombreuses entreprises ont dû vivre des périodes de télétravail à 100 %, et restent prêtes à continuer de proposer cela aux employés qui le souhaitent, à raison de quelques jours par semaine, hors périodes de confinement.

Finalement, beaucoup de personnes qui n’auraient pas pensé, il y a un ou deux ans, s’éloigner de leur lieu de travail, considèrent désormais que ce choix est tout à fait possible, et même profitable pour plusieurs raisons. Face à cela, le marché de la capitale se présente comme un peu moins tendu qu’avant, ce qui explique la légère baisse des prix.

Attention, toutefois : cette inflexion ne va pas forcément concerner tous les biens et tous les quartiers. Par exemple, les appartements familiaux spacieux dans les immeubles de caractère ou les logements avec un jardin ou un balcon à Paris restent extrêmement prisés… Et leurs tarifs n’ont généralement pas tendance à baisser, car les propriétaires savent qu’ils vont pouvoir vendre facilement.

De plus, Paris reste une ville où beaucoup de personnes travaillent, sans compter que certains professionnels habitant en Province doivent s’y déplacer plus ou moins régulièrement pour les affaires. En ce sens, les demandes consistant à trouver un pied-à-terre sont toujours très fréquentes et, sur ce segment du marché aussi, les baisses demeurent timides (voire inexistantes).

 

La baisse des prix de l’immobilier à Paris, un prétexte pour négocier son achat ?

Il ne faut pas oublier que le marché immobilier reste très tendu, comme dans toutes les grandes villes de France. Cependant, une étude menée par le cabinet Yanport a mis en évidence quelques chiffres intéressants : dans une certaine mesure, il serait possible de compter sur une petite marge de négociation.

L’étude a été réalisée entre 2019 et début 2020, avant la crise sanitaire. Malgré tout, elle demeure pertinente à l’heure actuelle, pour se faire une idée de ce que l’on peut tenter au moment de proposer une offre d’achat.

Dans certaines zones comme au niveau des 1er et 8e arrondissements, les marges de négociation peuvent atteindre 2 à 4 %, en fonction du quartier et du type de bien. À titre indicatif, avec une marge de 4 %, pour un bien vendu 300 000 €, il serait donc possible de tenter une économie d’environ 12 000 €.

Les marges de négociation ne sont pas fixes et dépendent de nombreux paramètres : l’emplacement exact, la superficie, l’étage auquel se situe le bien, les prestations à l’intérieur du logement, le cachet de l’immeuble, etc. Aussi, bien qu’il soit possible, dans certains cas, de tenter une réduction du prix de vente, l’idéal reste de faire appel à des professionnels pour ne pas prendre de risque.

 

Un chasseur d’appartement pour mieux négocier votre achat immobilier à Paris

Vous souhaitez profiter de ce contexte plus favorable pour acheter un appartement à Paris ? Si vous faites appel à HOME SELECT, nous pouvons effectuer les recherches pour vous, en tenant compte de toutes vos exigences ainsi que de votre budget.

Nos chasseurs de bien travaillent sur des secteurs géographiques extrêmement précis, qu’ils maîtrisent totalement. Ils savent parfaitement quelles sont les tendances et dans quelle mesure la baisse générale affecte leur zone d’action. Ils peuvent en toute logique vous aider à négocier de manière raisonnable, sans risquer de passer à côté d’une annonce qui vous intéresse réellement.

Mieux encore, HOME SELECT vous propose un accompagnement personnalisé pour votre achat : accès à des annonces en off-market, mise en relation avec des courtiers pour le crédit immobilier, conseils sur les quartiers, etc. Nos prestations s’adaptent à vos besoins propres.

Prix immobilier à Paris au 24 mars 2021 : LES PRIX DE L'IMMOBILIER COMMENCENT À DIMINUER À PARIS

Depuis plusieurs mois déjà, les professionnels de l’immobilier s’attendaient à une baisse des prix en Île-de-France : ils n’ont cessé d’augmenter pendant plusieurs années, dépassant de nouveaux records mois après mois. Cette fois, la tendance semble réellement prendre une nouvelle tournure, puisque l’on a observé une dynamique inverse sur plusieurs secteurs, où les tarifs de vente ont légèrement baissé. Cette évolution peut-elle s’accentuer ? Quelles conséquences pour les acheteurs ? Dans tous les cas, le marché reste tendu, et l’accompagnement de professionnels demeure utile pour concrétiser votre projet !

 

La baisse des prix de l’immobilier à Paris, une tendance début 2021

À la fin de l’année 2020, on observait des tarifs moyens de 10 770 € par mètre carré à Paris, ce qui représente 20 € de moins que le trimestre précédent. Une baisse de 0,2 % timide, mais historique : c’est la première fois en 5 ans que la tendance prend cette direction !

Avant que cette diminution ne soit enclenchée, les prix ont atteint un plafond historique : 10 850 € le mètre carré en moyenne en novembre 2020, selon Maître Thierry Delesalle, notaire à Paris[1]. Pendant longtemps, on avançait que le seuil symbolique des 11 000 € serait dépassé : certains chiffres prouvent qu’on y est arrivé, mais aussi que l’on risque de repasser assez vite en dessous.

D’après le réseau immobilier Hosman, travaillant sur les différentes tendances des grandes villes françaises, cette baisse a toutes les chances de s’accentuer prochainement. L’institut regarde au fil des mois les prix « en temps réel » des offres publiées sur les plateformes immobilières. En décembre, le tarif moyen observé était de 11 322 € par mètre carré, contre 11 288 € en janvier et 11 267 € en février[2].

En tout état de cause, on parle ici d’une baisse extrêmement timide. Les acheteurs ne pourront pas faire d’économies considérables en devenant propriétaires en 2021, s’ils comparent leur acquisition avec les tarifs pratiqués en 2020. De plus, il est important de comprendre que cette baisse ne signifie pas forcément que la tension diminue, notamment parce qu’elle ne concerne pas tous les arrondissements.

 

Tous les arrondissements ne sont pas logés à la même enseigne

La baisse des prix s’observe sur le 4e arrondissement, dans le 5e arrondissement, ou encore dans le 6e, le 7e, le 8e, le 9e, le 10e et le 16e. Et dans certains arrondissements comme le 9e, la baisse est extrêmement limitée, puisque l’on passe de 11 859 € par mètre carré en janvier à 11 850 € par mètre carré en février. En un mois, les tarifs ont diminué de :

  • 116 € dans le 4e arrondissement ;
  • 139 € dans le 5e arrondissement ;
  • 169 € dans le 6e arrondissement ;
  • 132 € dans le 7e arrondissement ;
  • 107 € dans le 8e arrondissement ;
  • 9 € dans le 9e arrondissement ;
  • 82 € dans le 10e arrondissement ;
  • 83 € dans le 16e arrondissement.

À l’inverse, la tendance continue d’augmenter dans les arrondissements les plus prisés, et notamment les plus centraux sur le plan géographique. Les tarifs au mètre carré ont progressé, entre janvier 2021 et février 2021, de :

  • 109 € dans le 1er arrondissement ;
  • 28 € dans le 2e arrondissement ;
  • 67 € dans le 3e arrondissement ;
  • 51 € dans le 11e arrondissement ;
  • 96 € dans le 12e arrondissement ;
  • 63 € dans le 13e arrondissement ;
  • 91 € dans le 14e arrondissement ;
  • 90 € dans le 15e arrondissement ;
  • 9 € dans le 17e arrondissement ;
  • 72 € dans le 18e arrondissement ;
  • 45 € dans le 19e arrondissement ;
  • 51 € dans le 20e arrondissement.

 

Pourquoi les prix baissent-ils dans certains arrondissements ?

Plusieurs facteurs peuvent expliquer la baisse des prix dans certains arrondissements parisiens. Pour commencer, on peut soupçonner les conséquences d’un « effet Covid-19 ». Concrètement, beaucoup de Franciliens sont en train de chercher un nouveau bien pour améliorer leur qualité de vie, mais ils ne ciblent plus systématiquement les quartiers de Paris.

Afin d’avoir plus de superficie, mais également davantage d’espace extérieur, ils sont parfois prêts à quitter la capitale pour privilégier la petite couronne, où l’offre de maisons reste plus étendue (bien que limitée et insuffisante pour répondre aux demandes).

Il existe aussi un effet mathématique et logique : puisque cela fait 5 ans que les prix augmentent continuellement, la tendance risquait forcément de se modifier un jour où l’autre, et la crise sanitaire a pu accélérer le processus.

En parallèle, l’excès de stock sur certains secteurs contribue à diminuer les prix, tout comme le prolongement de la durée de publication de certaines offres.

 

Acheter à Paris reste compliqué : faites-vous accompagner d’un chasseur de biens

Ces tendances laissent penser qu’il est désormais plus facile d’acheter sur Paris. Dans les faits, vous avez effectivement davantage de chances de négocier votre acquisition, dans un contexte où les prix sont plutôt en train de baisser. Vous pouvez aussi trouver plus de biens à visiter, car le marché semble un peu moins tendu.

Malgré tout, Paris reste – et restera – une ville extrêmement difficile pour acheter : les offres les plus recherchées, avec des garages ou des balcons par exemple, partent toujours à grande vitesse… Parfois même avant leur publication sur les plateformes.

Le souhait d’une petite terrasse, d’un appartement avec une chambre en plus ou encore d’un jardin peut compliquer sérieusement vos recherches, car ces demandes explosent après les confinements successifs vécus par les Français.

Aujourd’hui encore, vous avez tout intérêt à solliciter les services d’un chasseur d’appartement pour concrétiser votre projet dans les meilleures conditions possible. Nous pouvons mener les recherches à votre place si vous manquez de temps, vous faire accéder à l’off-market et même vous aiguiller dans toutes les démarches. Qu’il s’agisse de la négociation du prix, de la recherche d’un emprunt ou même de votre emménagement sur les lieux (accompagnement possible pour les expatriés qui reviennent en France, également), nous adaptons nos prestations à vos besoins.

Prix immobilier à Paris au 19 janvier 2021 : À PARIS, LA DEMANDE CONTINUE DE BOOSTER LE MARCHÉ DE L'IMMOBILIER DÉBUT 2021

En décembre 2020, Les Notaires de France ont publié les bilans du marché de l’immobilier sur l’année, des données très attendues dans le contexte de crise que l’on connaît. Au regard des circonstances exceptionnelles qui ont profondément bouleversé les pratiques et habitudes, les conclusions sont étonnamment positives : on compte entre 970 000 et 980 000 transactions sur 2020, ce qui correspond à un niveau assez proche de 2019, où le million avait été dépassé. Sur Paris, on constate que la demande a même explosé, rendant les négociations encore plus tendues pour les acquéreurs. Dans le même mouvement, on observe également que le secteur de l’immobilier de luxe résiste très bien : face à des acheteurs toujours plus nombreux, l’accompagnement d’un chasseur d’appartement reste décisif afin de se donner toutes les chances de concrétiser son projet !

 

L’immobilier, un placement sûr face à un contexte incertain

Au début de l’année 2020, avant que la Covid-19 ne vienne troubler tous les pronostics, le marché de l’immobilier en France se portait bien : semaine après semaine, on observait des progressions de 10 à 20 % par rapport aux mêmes périodes de l’année 2019.

Mais pendant les deux mois du premier confinement, l’économie française s’est presque arrêtée… et les transactions n’ont pour la plupart pas pu se concrétiser. Cependant, les professionnels du milieu se sont félicités de voir les clients revenir en force dès le déconfinement en mai, avec une reprise extrêmement dynamique et une sorte de phénomène de rattrapage.  

D’une manière générale, les Français restent particulièrement friands de placements immobiliers, pour plusieurs raisons évidentes : les taux des crédits, toujours bas, permettent d’obtenir des financements attractifs. En outre, la généralisation du télétravail a fait naître de nouvelles pratiques et, surtout, des envies inédites (une pièce supplémentaire pour exercer son activité professionnelle, un espace extérieur privatif, un logement plus grand, la possibilité de s’éloigner de son lieu de travail, etc.).

 

La Grande Couronne parisienne, toujours plus prisée

D’après les statistiques du site Particulier à Particulier (PAP), les recherches de biens dans la Grande Couronne ont bondi de plus de 60 % en 2020. Dans certaines villes d’Île-de-France comme Fontainebleau ou L’isle-d’Adam et Rambouillet, légèrement excentrées, les sites d’annonces ont observé des recherches de biens qui se multipliaient par deux, trois, voire parfois davantage.

Très concrètement, les confinements ont encouragé les Français à favoriser des logements plus spacieux, si possible avec un jardin (ou au moins une terrasse). Ce besoin d’espace explique naturellement la montée en puissance des villes proches de Paris, sur lesquelles ces types de biens sont plus facilement disponibles que dans Paris même.

D’ailleurs, quand on se penche un peu plus en détail sur les statistiques, on remarque que ce sont les recherches de maisons qui alimentent essentiellement cette dynamique de croissance. À Rambouillet, par exemple, si les recherches d’appartements ont progressé de « seulement » 54 %, elles ont explosé de 342 % en ce qui concerne les maisons.

Il ne faut pas croire, pour autant, que les opportunités d’un grand appartement ou d’une belle maison sur Paris sont insaisissables. Elles existent, mais elles deviennent de plus en plus prisées. Aussi, pour les personnes qui entretiennent ce genre de projet, il est plus que jamais conseillé de se faire aider d’un chasseur de biens. Celui-ci pourra mettre à profit son réseau et ses compétences de fin négociateur dans le but de dénicher des offres en off-market, très difficiles d’accès pour les particuliers n’ayant pas de contacts dans le milieu.

 

L’immobilier de luxe continue de bien se porter

Interrogé par BFM Immo, Alexander Kraft, le PDF de Sotheby’s International Realty France, constate que l’immobilier haut de gamme sur Paris continue de bien se porter, avec des résultats positifs malgré le contexte si spécifique propre à l’année 2020.

Si ce secteur bien précis était surtout occupé par les acquéreurs et investisseurs étrangers, on s’étonne même de voir, dans la sphère des agences commercialisant des biens d’exception en Île-de-France, une belle proportion d’acheteurs français.

Dans des arrondissements comme les 15e, 16e et 17e, les maisons se sont écoulées entre 3 et 6 millions d’euros en moyenne, avec de très faibles négociations dans la grande majorité des cas, selon le directeur associé de Paris Ouest Sotheby’s International Realty Paulo Fernandès.

Cette stabilité ne signifie pas que les besoins sont toujours identiques : les confinements ont bel et bien impulsé des modifications de comportements ainsi que des projets nouveaux. Par exemple, certaines exigences comme celles de grandes maisons avec jardin dans des villes comme Boulogne-Billancourt explosent, alors même que l’on recherche un peu moins de vastes appartements sur Paris.

La clientèle étrangère rencontre davantage de difficultés pour investir dans l’immobilier de luxe parisien en ce moment, face à toutes les restrictions qui continuent de s’appliquer. Mais le marché reste perpétuellement alimenté par une demande appuyée du côté des Français… Le retour proche des investisseurs venus du monde entier ne fera qu’augmenter une dynamique toujours ascendante !

 

Acheter en région parisienne en 2021… l’indispensable accompagnement !

Les projections des Notaires de France effectuées au quatrième trimestre 2020 vont dans le sens d’une poursuite de la hausse de la demande, partout en France, y compris en région parisienne. Les maisons continuent de gagner en popularité, tout comme les appartements relativement spacieux avec une terrasse ou un balcon.

Incontestablement, les acquéreurs qui souhaitent devenir propriétaires d’un bien en Île-de-France en 2021 ont tout intérêt à solliciter les services d’un chasseur d’appartement. En effet, puisque la demande reste très forte, les annonces sont prises d’assaut souvent quelques minutes ou quelques heures après leur mise en ligne. Les vendeurs bénéficient généralement de l’embarras du choix, face à des offres d’achat qui se multiplient et qui leur donnent davantage de pouvoir.

Du côté des acquéreurs, il faut donc se faire entourer d’un expert de la recherche, qui saura solliciter son réseau afin d’accéder aux ventes le plus tôt possible, quand elles ne sont pas encore publiées sur les différents réseaux (off-market). On imagine de plus en plus rarement vendre sur une agence… Alors pourquoi acheter sans un accompagnement également très bénéfique ?

Prix immobilier à Paris au 30 novembre 2020 : IMMOBILIER : HAUSSE DES PRIX DANS L'ANCIEN, QUE PEUT-ON ATTENDRE DE 2021 ?

Le dernier baromètre LPI-SeLoger est formel, les prix de l’immobilier continuent de grimper en France. Cette tendance se vérifie naturellement à Paris, mais aussi plus généralement dans toutes les grandes villes (celles qui comptent plus de 100 000 habitants). Tout au long de l’année 2020, les tarifs des appartements sur la métropole du Grand Paris ont augmenté de 3,2 %… Quant aux maisons, leur prix a flambé de 8,4 %, elles deviennent des perles rares de plus en plus convoitées ! Face à toutes ces réalités, difficile de savoir quel scénario privilégier pour 2021, même si les professionnels du milieu évoquent une possible baisse.

 

Une offre rare qui alimente un marché toujours plus tendu

Selon Michel Mouillart, porte-parole du baromètre LPI-SeLoger[1], la première cause de cette augmentation des tarifs repose sur la raréfaction de l’offre. Il souligne qu’une hausse si forte à l’échelle de tout le pays n’avait pas été observée depuis 2011, à la veille de la suppression du PTZ dans le domaine de l’immobilier ancien.

On le sait, à Paris plus que dans n’importe quelle ville, la demande est largement supérieure à l’offre. Les individus qui désirent acquérir des maisons ou des appartements voient souvent passer les biens qu’ils convoitent sous leur nez, parce qu’ils n’ont pas été assez réactifs ou qu’ils n’ont pas utilisé les bonnes méthodes au moment de proposer leur offre d’achat.

Plus que jamais, si vous voulez avoir un maximum de chances d’acheter le bien répondant à toutes vos attentes sur Paris, vous avez tout intérêt à vous faire accompagner de professionnels spécialisés dans le domaine. Chez HOME SELECT, nos chasseurs d’appartements et de maisons peuvent effectuer toutes les recherches pour vous et, malgré cette véritable raréfaction de l’offre, trouver le bien qui remplit toutes vos exigences.

 

Des ventes toujours plus rapides, sans négociation

Cette hausse ne concerne pas uniquement les grandes villes comme Paris, mais les agglomérations et les métropoles dans leur ensemble. Ainsi, on peut parler d’une inflation sur tout le Grand Paris, encore plus quand il s’agit des maisons en périphérie.

Très concrètement, avec les deux confinements qui ont élargi massivement la pratique du télétravail, beaucoup de personnes se sentent prêtes à s’éloigner de leur lieu de travail, pour vivre dans un logement plus spacieux, avec idéalement un espace extérieur privatif, et pourquoi pas un jardin.

Pour toutes ces transactions sur des biens extrêmement recherchés, les négociations deviennent presque impossibles. En effet, la marge observée par le baromètre est de 3,3 % pour les appartements et 4,6 % pour les maisons – des taux généralisés sur toute la France, qui sont encore plus faibles pour les maisons en Île-de-France, par exemple (3,4 %).

Désormais, plus que jamais, quand on visite un bien qui séduit, il faut être capable de réagir très vite et de communiquer une offre d’achat sérieuse et complète dans les meilleurs délais. Là encore, il peut être difficile pour des primo-accédants (ou même des personnes ayant déjà investi) de réaliser les meilleurs choix stratégiques et de travailler méthodiquement. En vous faisant accompagner d’un chasseur HOME SELECT pour votre recherche, vous vous assurez d’être totalement aiguillé sur toutes les étapes, y compris sur les plus tendues comme celle qui concerne la négociation et la transmission d’une offre d’achat.

 

Crise, resserrement des accès aux crédits : pourquoi les prix ne baissent-ils pas ?

Nous faisons face à une crise sanitaire inédite, avec des impacts économiques certains. Dans le même temps, les banques deviennent de plus en plus exigeantes, elles n’acceptent plus de prêter de l’argent aux familles plus modestes. La demande pourrait donc légèrement diminuer, car beaucoup de foyers ont vu leur pouvoir d’achat faiblir suite aux confinements.

Malgré tout, les prix poursuivent leur hausse. En effet, cette petite inflexion de la demande ne suffit pas à inverser une dynamique déjà bien enracinée. De plus, le fait que le secteur du BTP ait subi la crise et que de nombreux projets de construction aient été retardés impacte également l’offre, qui continue de se raréfier.

Face à cela, sur des villes comme Paris, il y a toujours beaucoup de candidats à l’achat. Car dans les grandes métropoles très onéreuses, ce sont généralement des personnes aisées qui désirent investir et, pour la majorité d’entre elles, la crise n’a pas eu d’effet significatif sur le pouvoir d’achat (c’est surtout celui des foyers déjà fragiles auparavant qui a souffert).

 

Quelle évolution des prix peut-on attendre en 2021 à Paris ?

Malgré ces chiffres du baromètre LPI-Se Loger, les Notaires du Grand Paris se veulent plus mesurés: ils notent de leur côté un «ralentissement de la hausse», et il est même question d’arrondissements dans lesquels on peut acheter pour moins de 10 000 € le mètre carré[2]Après le 2e confinement, les agences ont pu reprendre les visites dès le 28 novembre, au moment de l’ouverture des commerces dits «non essentiels». L’occasion pour plusieurs candidats à l’achat de relancer leur projet, et de s’intéresser aux dynamiques actuelles du marché parisien. Très concrètement, on ne trouve plus que 3 arrondissements avec un prix moyen inférieur à 10 000 € par mètre carré : le 19e, le 20e et le 3e. Le 20e pourrait bien s’imposer comme une option très pertinente pour un investissement, car c’est aussi ici que la hausse a été la plus marquée dernièrement, 10 % en un an. Les deux confinements ont logiquement diminué les visites et le volume des ventes a reculé au 3e trimestre 2020. Puisque les tarifs sont déjà à des niveaux très hauts et que les crédits immobiliers deviennent moins faciles à obtenir malgré des taux attractifs, les notaires pensent qu’une légère baisse n’est pas impossible d’ici la fin 2021… Bien qu’il soit encore difficile de se projeter à ce stade. Car malgré la crise, les Français continuent de considérer l’immobilier comme une valeur refuge et de plébisciter l’investissement dans la pierre. Ils se sentent souvent moins confiants face au manque de visibilité, mais ils vivent aussi des envies de davantage de superficie, d’un espace extérieur… Autant d’éléments qui pourraient contribuer à alimenter la demande et nourrir le marché. S’il y avait une baisse, elle ne concernerait certainement pas tous les arrondissements ni tous les types de biens: les maisons en périphérie, par exemple, devraient être toujours – sinon plus – recherchées que pendant les années précédentes.

Prix immobilier à Paris au 06 Octobre 2020 : CORONAVIRUS : QUELLES CONSÉQUENCES SUR LE MARCHÉ DE L’IMMOBILIER ?

Le confinement, qui constitue la seule solution possible pour ralentir la propagation du COVID-19 dans le monde, impacte tous les secteurs : l’immobilier n’y échappe pas. Comment cette crise sanitaire agit-elle sur le marché aujourd’hui ? Quelles seront les conséquences après le confinement ? Doit-on craindre une récession sur le long terme ? À l’heure actuelle, les experts s’accordent pour affirmer que plusieurs scénarios sont encore possibles.

 

Pendant le confinement, les ventes sont à l’arrêt

Puisque les Français n’ont pas le droit de sortir de chez eux sans raison valable, ils ne peuvent pas organiser des visites ou des rendez-vous pour rechercher un bien. Pour respecter les mesures gouvernementales, beaucoup d’agences immobilières ont nettement réduit leurs activités. Concrètement, elles continuent d’assurer les tâches administratives, la gestion ou encore les syndics de copropriété. En revanche, elles n’assument plus de rendez-vous physiques, parce qu’elles ont majoritairement basculé en télétravail. Les transactions sont à l’arrêt, tout comme les visites des biens en vente.
Les conséquences immédiates sur le marché de l’immobilier ne sont pas réellement mesurables. Puisqu’il n’est pas possible de visiter les biens, de négocier ou d’envisager une nouvelle mise en vente, les prix ont plutôt tendance à stagner. Le site Meilleurs Agents, spécialisé dans la publication de statistiques relatives à l’immobilier, ne fournit pas de prévision pour le moment, par manque de données. Cushman&Wekefield, enseigne mondiale dans le secteur de l’immobilier d’entreprise, n’a pas non plus évalué l’impact de cette crise sur le marché, même si elle admet qu’une récession est probable.

 

La difficile gestion des dossiers face aux mesures de distanciation sociale

Pour les personnes qui ont déjà acheté un bien, mais qui n’ont pas encore signé chez le notaire, les choses se compliquent. En effet, les agences immobilières ont fermé leurs portes, toutes les tâches administratives sont ralenties ou remises à plus tard.
Dans certaines professions, comme du côté des notaires, on a mis en place plusieurs initiatives pour suivre les dossiers en cours malgré le contexte. En ce sens, les actes sont préparés à l’avance et les signatures peuvent être validées par procuration. De plus, on peut continuer à communiquer avec les vendeurs et les acquéreurs par visioconférence, pour éviter de paralyser les marchés et respecter les consignes sanitaires de l’État.
Pour les ventes déjà conclues, les nouveaux propriétaires doivent naturellement faire face à d’autres problèmes : les déménagements, par exemple, doivent être reportés dans la mesure du possible. D’autres démarches comme la vente sur plan, pour laquelle l’acheteur doit être physiquement présent, sont encore difficiles à prévoir dans ce contexte inédit.

 

Quelles conséquences après le confinement ?

On sait que la crise liée au COVID-19 aura d’importantes répercussions économiques : l’immobilier ne sera pas épargné, même si les conséquences concrètes restent floues, notamment parce qu’on manque de recul sur la situation.
Par exemple, si certains craignent une crise comparable à celle de 2008, les experts s’accordent pour affirmer que le contexte est complètement différent. En 2008, le problème était d’origine financière et les États n’ont pas mis en place de véritables dispositifs d’accompagnement pour aider les entreprises en difficulté. Cette fois, devant les risques sanitaires et leurs implications sur notre santé économique, tous les pays ont mis en place des mesures pour réduire autant que possible la pression financière du côté des professionnels.
Ainsi, on ne redoute pas forcément de baisse des revenus locatifs, ni de hausse spectaculaire des taux d’intérêts en raison d’une inquiétude liée à l’augmentation de l’endettement. L’Institut de l’épargne immobilière et foncière évoque 3 scénarios possibles, en V, en L et en W. Beaucoup de commerces pourraient vivre une évolution en V, avec une chute et une remontée rapide. On craint une dynamique en L pour le résidentiel, avec une baisse des prix amenée à se prolonger. Enfin, si les confinements devaient se reproduire plusieurs fois, on se rapprocherait d’une évolution en W, avec des hausses et baisses successives.

 

Un marché de l’immobilier solide à Paris, capable de tenir face à la crise

Qu’il s’agisse de Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du management des services immobiliers (IMSI) ou de Bertrand Gstalder, patron du groupe Se Loger, tous s’accordent sur la perspective d’une baisse généralisée des prix, jusqu’à 5 % dans les grandes villes et probablement 10 % dans les zones moins recherchées, à la campagne.
Alors que les taux d’intérêts devraient rester bas, on estime que les villes comme Paris continueront d’attirer les acquéreurs et que les prix devraient stagner à des niveaux proches des tarifs actuellement observés. Dans les faits, les individus qui achètent sur Paris ont plus de pouvoir d’achat qu’ailleurs. Ils ne font pas partie des plus fragiles qui seront rapidement touchés par la crise économique. L’immobilier dans la capitale devrait donc demeurer une valeur refuge, même si les prix baissent légèrement.
Aujourd’hui, l’inquiétude des professionnels concerne le long terme : le confinement actuel aura des conséquences, mais on redoute aussi la nécessité de mettre en place d’autres mesures de distanciation sociale d’ici quelques mois, si le virus revient et que nous n’avons toujours aucun remède (traitement, vaccin) contre. Il faudra donc rester vigilant pour mesurer l’impact du COVID-19 sur le marché immobilier, car les réponses demeurent à l’état d’hypothèses.

Prix immobilier à Paris au 25 août 2020 : LES PRIX DE L'IMMOBILIER EN BAISSE À PARIS, UNE PREMIÈRE DEPUIS 2014

L’information provient d’une start-up spécialisée dans le big data immobilier et les intelligences artificielles : le marché de l’immobilier parisien enregistre une légère baisse des prix sur les derniers mois, c’est une première depuis 6 ans. Alors même que les tarifs s’envolent dans toutes les grandes villes de France (+ 12,02 % à Lyon, par exemple), la capitale est la seule à démontrer un léger fléchissement. Cette tendance pourrait-elle se confirmer ces prochains mois ? Les professionnels du secteur ne privilégient pas de scénario spécifique à l’heure actuelle.

 

Une inflation dans toutes les grandes villes, sauf Paris !

Dans son étude récemment publiée, la start-up PriceHubble montre que, ces 7 derniers mois, les prix de l’immobilier ont progressé dans toutes les villes françaises, sauf Paris. Les inflations les plus importantes sont observées sur Lyon (+ 12,02 %), Strasbourg (+ 11,42 %), Lille (+ 11,16 %) ou encore Rennes (+ 8,59 %).

Alors même que toutes les grandes agglomérations sont associées à une élévation des prix de vente dans l’immobilier (Nantes, Bordeaux, Marseille, Nice, Toulouse, etc.), seule Paris fait exception, avec une légère baisse de 0,42 %… C’est la première fois que la tendance est à la baisse depuis 2014 !

Selon Loeiz Bourdic, directeur PriceHubble France pour cette étude, il va falloir suivre de très près les tendances ces prochains mois, car il est difficile à l’heure actuelle de savoir si ce ralentissement matérialise le début d’une baisse plus importante.

 

Pas de véritable baisse pour les notaires, mais plutôt un ralentissement de la hausse

Cette étude fait déjà couler beaucoup d’encre parce qu’elle fait part d’un fait assez inattendu, mais elle suscite aussi la méfiance des notaires, qui ne valident pas cette notion de baisse des prix de vente.

De leur côté, dans la note de conjoncture émise en juillet dernier, ils ont préféré parler d’un « net ralentissement de la hausse », sans toutefois évoquer de baisse comme l’a fait PriceHubble. Ce document stipulait malgré tout que les prix avaient plutôt tendance à stagner, ce qui prouve bien que la dynamique a légèrement changé, après des années d’inflation et de hausses atteignant régulièrement de nouveaux records.

 

Des chiffres qui demandent à être confirmés ces prochains mois

Pour publier son étude concernant les tendances du marché de l’immobilier dans les grandes villes de France, PriceHubble a passé au peigne fin 15 879 annonces actives sur la capitale, entre la période du 1er janvier et du 31 juillet 2020. La courbe qui se dessine sur cette période prend la forme d’une cloche, comme l’explique Loeiz Bourdic : 12 000 € par mètre carré en janvier, puis 12 600 € en avril avant une baisse à 11 950 € en juillet, légèrement en dessous de la base effective au début de l’année.

Finalement, bien que ces chiffres attestent d’une véritable baisse, il faut garder en tête qu’elle reste très timide et « peu significative » selon les termes de PriceHubble… La start-up estime que même si cette tendance venait à s’intensifier d’ici la fin de l’année, on assisterait plutôt à un léger recul, tandis que les probabilités de voir se confirmer une véritable baisse des prix demeurent faibles.

En parallèle, on peut s’étonner de voir que Paris est la seule ville à montrer cette tendance, tandis que les prix ont grimpé dans toutes les autres villes étudiées. Ici encore, PriceHubble semble avoir une explication : la capitale aurait une petite avance sur la Province, et d’autres grandes villes pourraient vivre le même scénario d’ici quelques semaines ou mois.

 

Pas de krach à prévoir selon les professionnels de l’immobilier

Dans un contexte où la crise du Coronavirus et les conséquences du confinement génèrent beaucoup d’angoisse sur le plan économique, les professionnels de l’immobilier se veulent plutôt rassurants. Pour Alain Dinin, directeur général de Nexity interviewé par le JDD, il n’est pas question de redouter un « krach » ou une « baisse massive des prix » à l’heure actuelle.

Toutefois, celui-ci admet que dans les villes où l’économie n’était déjà pas en très bonne santé, une baisse des tarifs plus importante reste possible. Cependant, sur Paris, le risque n’est pas identique. Ici, il faut avoir en tête que l’inflation subie depuis de nombreuses années a amené certains arrondissements sur des tarifs excessifs, qui pourraient être « corrigés » prochainement, sans toutefois chuter de manière trop pénalisante pour les vendeurs.

Parmi les facteurs qui vont être déterminants pour la suite, on cite la reprise des chantiers de construction. En effet, la baisse de production dans le domaine du logement liée à la Covid-19 va se répercuter sur les années 2020 et 2021 et influer sur les tarifs. Si 400 000 mises en chantier avaient été enregistrées en 2019, on table sur seulement 300 000 en 2020 et moins de 280 000 en 2021.

Pour finir, les professionnels de l’immobilier s’accordent sur un retour à la normal difficile à envisager avant la fin de l’année 2020, tout en précisant que le retard pris sur la période du confinement ne sera pas rattrapé. L’aide apportée par le plan de relance de la construction du Gouvernement sera déterminante pour la suite !

Prix immobilier à Paris au 23 juillet 2020 : Quel est l'état du marché Immobilier Parisien Post COVID-19 ?

Comme tous les Français sur le territoire, l’équipe de HOME SELECT s’est retrouvée confinée pendant 8 semaines, physiquement indisponible pour assurer les visites et trouver à leurs clients le bien tant recherché. Suite au déconfinement progressif opéré depuis le 11 mai 2020, si nos chasseurs immobiliers ont eu le plaisir de retrouver un marché parisien particulièrement dynamique, ils n’en restent pas moins attentifs à l’évolution du secteur et l’appréhendent avec beaucoup de prudence…

 

À l’été, reprise dynamique du marché immobilier à Paris !

Côté acheteurs, plus qu’un effet de « rattrapage » !

Interrogés pendant le confinement, 8 Français sur 10 évoquaient plutôt le report de leurs projets immobiliers que leur abandon – que ce soit une acquisition ou une vente. Au déconfinement, cette tendance s’est confirmée, puisque peu d’entre eux ont préféré différer leurs intentions d’achats ou de vente.

Après le phénomène de rattrapage, observé en mai 2020, avec la signature définitive des actes initiés avant le 17 mars, le nombre de transactions continue son envolée au mois de juin, à un rythme nettement plus élevé qu’en 2019, à la même période.

Malgré des projets d’achat qui ont connu parfois quelques modifications pour intégrer de nouvelles priorités (espaces verts, extérieurs, pièce supplémentaire), l’empressement à les mener à bien témoigne d’une belle confiance des Français. Selon MeilleursAgents, 72 % des vendeurs et des acheteurs interrogés courant juin se déclarent sereins face à l’avenir, soit 7 points de mieux qu’en pleine crise de la Covid-19.

 

Côté prix, un effet post-covid-19 inattendu !

Même si les experts ont envisagé de nombreux scénarios pour la période post covid-19, la vraie surprise vient d’une véritable poussée des prix ! Si de nombreux d’acheteurs prévoyaient une baisse des prix de 10 % à la reprise du marché immobilier parisien, force est de constater qu’il n’a enregistré aucun changement par rapport à mars 2020.

Portés par la confiance actuelle, les acheteurs n’ont finalement pas attendu une éventuelle baisse pour concrétiser leurs projets. Du coup, les prix sont en train d’enregistrer une légère hausse dans la capitale (comme dans les villes de France, grandes ou petites) : malgré un ralentissement général de l’augmentation observé depuis l’automne dernier, la hausse n’en est pas moins de 5,2 % sur un an. Actuellement, les prix de Paris dépassent les 11 000 € le m² dans 11 arrondissements – à savoir, du 1er au 9e, le 16e et le 17e.

Un indice de confiance au beau fixe et un rebond salutaire du marché immobilier parisien, qui donnent le sourire à nos chasseurs d’appartement HOME SELECT, lesquels ont repris activement les visites depuis le 11 mai dernier. Mais cette embellie est à observer avec prudence, compte-tenu de certains facteurs…

 

À l’automne, prudence sur ce premier « effet post Covid-19 »

La situation économique de la France est préoccupante : que ce soit pendant ou après la Covid-19, l’État a mis en place des filets de sécurité pour accompagner les entreprises dans la tourmente. Des milliards d’euros ont été injectés pour éviter le chômage massif et limiter les faillites. Qu’en sera-t-il lorsque ces sécurités n’auront plus cours ? Déjà, de nombreuses structures annoncent des plans sociaux, alors que le dispositif du chômage partiel et les prêts garantis sont encore disponibles…

 

Le chômage et l’accès au crédit

Lors de son interview du 14 juillet 2020, Emmanuel Macron a confirmé les prévisions délivrées aussi bien par les instituts que par le gouvernement : le nombre de chômeurs va augmenter de 800 000 à 1 million de personnes d’ici le printemps 2021. De fait, le président souhaite faire de l’emploi sa priorité dans les prochaines semaines, et notamment auprès des jeunes.

En attendant, toute hausse du chômage baisse mécaniquement la solvabilité de l’emprunteur, engendrant davantage de refus bancaires et diminuant progressivement le nombre de demandes. Sans parler d’éventuels resserrements des conditions d’octroi des crédits de la part des banques… Un état qui ne manquera pas de se répercuter sur le marché de l’immobilier et sur notre activité.

 

L’évolution d’Indicateur de Tension Immobilière (ITI)

Au déconfinement, le marché parisien revendiquait un rapport acquéreurs/vendeurs plutôt équilibré. Déjà, l’Indicateur de Tension Immobilière (ITI) reflète une vraie contraction du nombre d’acheteurs, puisqu’il était de 26 % à Paris en septembre 2019, 23 % en mars et n’est plus qu’à 18 % en juin 2020. À noter que cette tendance se ressent également dans les grandes et moyennes villes de France, comme à Lyon ou à Rennes.

Ces facteurs sont suffisamment évocateurs pour susciter la prudence chez tous les professionnels de l’immobilier – notamment chez les chasseurs immobiliers de HOME SELECT : sans pouvoir prévoir l’évolution du marché parisien, ces alertes laissent planer un doute sur la pérennité de l’euphorie actuelle. Nul doute que l’automne nous donnera un meilleur aperçu des prochains développements potentiels du marché – que ce soit au niveau des volumes ou des prix.

En attendant, si vous voulez profiter du dynamisme actuel, n’hésitez pas à contacter un des chasseurs d’appartements HOME SELECT pour qu’il entreprenne au plus vite une recherche dans la capitale !

Prix immobilier à Paris au 23 juin 2020 : Effets dy COVID-19 sur Le Marché Immobilier, plus de Ventes Sans Visite Technique

Acheter un appartement sans l’avoir visité : cela aurait pu paraître complètement incroyable il y a seulement quelques années… Cependant, la crise du Covid-19 est passée par là et a bousculé beaucoup de croyances que l’on entretenait depuis des décennies. L’impossibilité d’organiser des rendez-vous physiques a encouragé les professionnels à proposer des visites virtuelles, et celles-ci ont généralement été bien accueillies par les acheteurs… Si bien que certains n’ont pas hésité à sauter le pas et acheter, sans visite physique ! Comment peut-on devenir propriétaire sans visite et sans risque ? HOME SELECT vous donne quelques conseils…

 

Acheter sans visite, est-ce vraiment possible ?

Pendant le confinement, beaucoup de projets de vente immobilière ont été mis entre parenthèses. En effet, les rendez-vous chez le notaire pour signer l’acte authentique de vente n’étaient plus envisageables. Dans certains cas, on a pu développer des méthodes alternatives pour éviter de retarder les ventes (signature dématérialisée, rendez-vous téléphoniques), quand celles-ci ne pouvaient pas attendre. Mais pour une grande partie des vendeurs et des acheteurs, il a tout simplement fallu attendre le déconfinement en mai afin d’avancer.

Pourtant, dans les médias, on entend parfois parler de ventes finalisées sans aucune visite pendant le confinement. Dans les faits, il est vrai qu’on a observé quelques transactions au cours de cette période sans précédent. Face à la crise, certaines agences ont plus que jamais accentué la communication autour des visites virtuelles à 360°, notamment, tout en mobilisant leurs équipes en télétravail pour assurer le suivi des dossiers.

Cette fermeture physique des agences n’a pas gelé toutes les transactions. Quelques appartements et maisons se sont vendus, par l’intermédiaire des visites 3D dans un premier temps, puis des e-mails et rendez-vous téléphoniques ensuite. Finalement, seule la remise des clés a dû être programmée après le déconfinement pour ces transactions d’un nouveau genre !

 

Quels sont les risques quand on achète un bien à distance ?

Le recours à des visites aussi réalistes et immersives que celles proposées par les agences utilisant la 3D laisse imaginer que l’on peut acheter sans se déplacer et sans danger. Même après le déconfinement, certaines personnes qui sont physiquement éloignées de la ville dans laquelle elles veulent emménager (les expatriés, par exemple), peuvent être séduites par ces pratiques. Voici quelques précautions à prendre pour éviter les mauvaises surprises.

 

Demander à un proche d’effectuer une visite de contrôle

Idéalement, essayez de bénéficier de l’aide d’un ami ou d’un membre de votre famille déjà sur place, qui peut aller voir l’appartement ou la maison pour vous. Faites le point avec ce proche avant la visite sur les différents aspects à vérifier, les éléments qui comptent beaucoup pour vous (la propreté des parties communes, la qualité des équipements, l’état des revêtements, le bruit, les odeurs : tout ce qui est difficile à mesurer avec une visite virtuelle !). Demandez des photos complémentaires si vous en ressentez le besoin, sans oublier de recueillir l’avis subjectif (mais utile) de votre complice sur le terrain. Il pourra vous donner des détails auxquels vous n’auriez spontanément pas pensé, qui vous aideront à réaliser un choix plus éclairé.

 

Interroger la municipalité sur les projets dans le quartier

Cela ne vous prendra pas beaucoup de temps, mais il ne faut pas négliger cette étape : passez un coup de téléphone à la mairie dont dépend le bien, pour savoir si des projets de construction ou d’aménagement sont en cours. Cela vous permettra de mieux vous imaginer dans votre futur environnement, tout en obtenant des informations sur l’avenir du quartier. L’arrivée de commerces peut être un point fort, mais celle d’une discothèque, par exemple, peut aussi vous décourager d’acheter.

N’oubliez pas que vous pouvez par ailleurs ajouter une condition d’achat soumise « à l’inspection de l’acheteur » au moment de rédiger le compromis. Cela vous permet de vous engager de manière mesurée, en protégeant vos intérêts officiellement.

 

Acheter sans visite, à distance et en toute sécurité 

Finalement, si vous cherchez les meilleures solutions possible pour acheter à distance en limitant les risques, vous pouvez tirer pleinement profit des prestations d’un chasseur d’appartement HOME SELECT. Très concrètement, en passant par leur intermédiaire, vous pouvez bien évidemment utiliser les visites virtuelles et les photos.

Mais pour vous assurer un achat réellement profitable, vous comptez sur l’expertise d’un professionnel spécialisé en recherche immobilière, mandaté par vous et mobilisé sur le terrain pour chercher en votre nom et dans vos intérêts.

Il met à profit ses connaissances et son réseau pour trouver les meilleures opportunités compte tenu de vos exigences. Il effectue les visites pour vous, puis il vous en fait un compte-rendu détaillé afin de vous aider à vous projeter. Il récolte toutes les informations incontournables pour vous permettre un choix éclairé.

En somme, quand vous passez par l’intermédiaire d’un chasseur d’appartement HOME SELECT, vous bénéficiez de tous les avantages de l’achat immobilier à distance, sans ses limites !

Prix immobilier à Paris au 12 Mai 2020 : FACE À LA CRISE DU COVID-19, LES PROJETS IMMOBILIERS RESTENT D’ACTUALITÉ

Comment les Français qui avaient un projet immobilier envisagent-ils la suite, face à une crise sanitaire, économique et sociale sans précédent ? Beaucoup évoquent déjà des répercussions sur le quotidien des consommateurs, matérialisées notamment par une importante réduction du pouvoir d’achat. Mais contre toute attente, les craintes des uns et des autres n’empêchent pas de réfléchir à l’acquisition d’une maison ou d’un appartement. Ainsi, si beaucoup de projets ont dû prendre du retard par la force des choses, les futurs propriétaires prévoient de retarder plutôt que d’abandonner leur achat. Au-delà des personnes prêtes à relancer leurs investigations dès la fin du confinement, certaines ont même continué d’avancer de chez elles, dans des conditions inédites !

 

Les Français restent optimistes et motivés pour concrétiser leurs projets

70 % des Français sont optimistes quand on les interroge au sujet de leur projet immobilier : ils affirment qu’ils pensent sincèrement pouvoir le concrétiser dans les 6 prochains mois, malgré la crise du Covid-19, selon une enquête réalisée en avril par SeLoger et l’Observatoire du Moral Immobilier (OMI).
Dans le cadre de ce sondage, 50 % des acheteurs ont confirmé qu’après le 11 mai, ils souhaitaient véritablement reprendre leur projet en main. Moins de 15 % ont choisi de remettre leurs investigations à 2021, ce qui prouve qu’en France, on garde une grande détermination pour investir malgré le contexte.
Bien évidemment, les difficultés sont réelles : environ 40 % rencontrent des retards dans leurs démarches. Mais pour 8 personnes interrogées sur 10, ces aléas impliquent seulement de vendre ou acheter moins rapidement que prévu. Pour l’instant donc, la confiance reste d’actualité : les particuliers ont la sensation que les choses vont reprendre. Mieux encore, près d’un futur acquéreur sur deux estime que son pouvoir d’achat aura été préservé au terme de la période de confinement. Finalement, pour plus de 8 individus sondés sur 10, il n’est pas question de revoir le budget à la baisse pour le moment.

 

Reprendre son projet en main dès la fin du confinement, une priorité !

Toutes les personnes qui cherchaient à vendre ou acheter avant l’arrivée du Covid-19 ont vécu un certain nombre de déceptions, notamment quand elles ont compris que toutes ces démarches nécessiteraient plus de temps.
Pourtant, il faut savoir que tous les achats ne sont pas au point mort, loin de là. Sur le web, plusieurs personnes ayant réussi à poursuivre certaines formalités ont partagé leur expérience. Quelques-uns, par exemple, ont pu signer un compromis de vente à distance, suite à une visite réalisée avant la période de confinement.
Il est toujours possible d’effectuer un dossier de prêt bancaire pendant le confinement, car les établissements continuent d’accompagner leurs clients, bien qu’ils soient télétravail. En toute logique, les délais de traitement sont plus longs, mais les particuliers peuvent formuler une demande et négocier leur crédit. Afin de les aider, les notaires sont en mesure d’allonger le délai pour l’obtention du crédit.
D’autres personnes, qui n’ont pas encore trouvé de bien correspondant à leur projet, ont pu poursuivre leurs recherches. En effet, les agences immobilières ont la possibilité de présenter des biens par voie dématérialisée, en envoyant des photos et vidéos (voire en proposant des visites virtuelles). Bien évidemment, ces démarches ne laissent généralement pas l’opportunité d’émettre une offre d’achat, car les futurs propriétaires veulent une véritable visite avant de se positionner. Mais elles permettent malgré tout de garder un pied dans son projet, de prendre connaissance des offres et des prix, pour continuer à mener sa réflexion sereinement.

 

Une confiance perpétuelle dans l’immobilier haut de gamme, qui reste une valeur refuge

La crise économique actuelle ne devrait pas freiner les investissements immobiliers. En effet, ceux qui privilégient les placements en bourse ont été largement pénalisés par les événements. En revanche, ceux qui possèdent des biens immobiliers ont pu apprécier de voir leur épargne protégée, car la pierre reste une valeur sûre.
Ainsi, même si l’immobilier risque aussi de subir les effets de la crise, il se présente toujours comme une solution plus stable afin de placer son argent en sécurité. Dans le secteur de l’immobilier haut de gamme sur Paris, on devrait continuer d’observer un marché assez dynamique, car le pouvoir d’achat des classes aisées en Île-de-France demeure stable .
Le Covid-19 ne va probablement pas détourner les Français de l’immobilier haut de gamme à Paris, même si pour le moment les transactions sont gelées. En effet, dans cette sphère plus que nulle part ailleurs, on a besoin de voir le bien de ses propres yeux afin d’en identifier tout le charme et de s’assurer de faire le bon choix.
Afin d’éviter que le secteur de l’immobilier ne soit trop lourdement pénalisé par les événements, le Gouvernement a pris différentes dispositions. Par exemple, pour la construction de nouveaux biens, le ministère du Logement incite à délivrer des décisions rapidement, sans attendre l’expiration des délais, pour ne pas bloquer trop de chantiers. De plus, les délais de recours et d’instruction ne sont plus prorogés comme c’était le cas au début de la crise. Enfin, le délai de rétractation pour l’acheteur ayant signé un compromis de vente reste inchangé (la suspension mise en place par ordonnance fin mars n’est plus d’actualité).

Prix immobilier à Paris au 19 février 2020 : ACTUALITÉ IMMOBILIÈRE : HAUSSE DES PRIX, TAUX BAS ET DEMANDES DE PRÊT REFUSÉES

Le début d’année est l’occasion parfaite pour faire le point sur l’année écoulée et pour faire des prévisions sur celle qui démarre tout juste. Alors, quel est le bilan pour 2019 ? Comment débute 2020 ? Entre hausses des prix et emprunteurs recalés, voici un point sur l’actualité.

 

Prix en (très forte) hausse


Un nombre croissant de Français veut investir dans l’immobilier. Cependant, cet engouement a un impact sur les prix dans les grandes villes. Ainsi, à Villeurbanne par exemple, les prix des logements anciens ont augmenté de 12,7 % en 2019 contre une moyenne de 6 % par année depuis 2012. Et si Villeurbanne est en tête des grandes villes où les prix ont le plus augmenté, elle est suivie de près par Brest dans le Finistère où la hausse est égale à 12 %. Les atouts de la ville bretonne sont nombreux : elle est dynamique, proche de la mer et de destinations touristiques comme Landéda ou encore Le Conquet et l’on y trouve de multiples entreprises. Toujours dans l’Ouest, on constate une hausse importante des prix à Rennes (+10,4 %), mais aussi à Nantes (+9,5 %). Des villes qui attirent notamment les jeunes diplômés, mais aussi les petites familles qui y trouvent tout ce dont elles ont besoin. À Angers, les prix ont augmenté de 11 % tandis qu’au Mans, ils ont crû de 7,1 %. Un classement des 10 villes de 100 000 habitants où les prix ont le plus augmenté en 2019 a été établi par seloger.com. Le voici :

Ville

HaussePrix du mètre carré

Villeurbanne

12,7 %3 450 euros

Brest

12 %2 014 euros
Angers11 %2 346 euros

Rennes

10,4 %3 634 euros
Nantes9,5 %3 706 euros
Toulouse8,2 %3 505 euros

Mulhouse

8,2 %1 521 euros
Tours8 %2 723 euros
Lyon7,7 %5 065 euros
Metz7,5 %2 411 euros

 

Des emprunteurs recalés

Vous pensiez que les taux d’intérêt toujours très bas – 1 à 1,3 % environ pour 20 ans en ce début d’année – permettent de devenir propriétaire plus facilement ? Sachez que ce n’est pas forcément le cas. D’ailleurs, plusieurs emprunteurs en ont fait les frais à cause du taux plafond au-dessus duquel les banques refusent de prêter. Car, si de nombreux ménages obtiennent l’accord de leur banque (ou d’un autre établissement bancaire), certains profils se retrouvent dans une impasse à cause des taux d’usure. Des emprunteurs recalés
La Banque de France met en place un taux plafond afin de protéger les particuliers souhaitant contracter un prêt immobilier. Ainsi, au-dessus de ce taux (calculé en fonction des taux moyens augmentés d’un tiers), les banques ont tout bonnement interdiction de prêter. Au 1er janvier 2020, les taux fixes des prêts ont été établis à entre 2,51 % et 2,61 %. C’est moins qu’au dernier trimestre 2019. Or, plus ces plafonds sont en baisse et plus il est compliqué pour certains dossiers de passer. 
D’ailleurs, les ménages les plus modestes font partie des premiers impactés par ce problème. Mais certaines personnes aux ressources plus élevées, voire très élevées, peuvent aussi essuyer des refus. Un courtier a ainsi donné l’exemple d’une femme de 65 ans percevant 1 700 euros par mois et voulant acheter une maison à 167 000 euros à Lyon avec 85 000 euros d’apport. Pour un emprunt de 97 000 euros sur 20 ans, elle a obtenu un prêt à 1,5 %. Mais à cause, entre autres, du taux de son assurance (environ 1 %), le taux total de son dossier a atteint 2,76 % soit plus que la limite établie par la Banque de France. Sa demande de prêt a donc été refusée.


L’immobilier en 2020

2019 a été une très belle année pour le secteur de l’immobilier, tant dans l’ancien que dans le neuf et pour l’achat comme pour la location. Mais qu’attendre de 2020 ? 
Il faut savoir que les taux sont en légère hausse tandis que les conditions pour emprunter sont plus sévères (car les banques gagnent moins d’argent avec la baisse des taux). En outre, il a été demandé aux banques de ne pas prêter sur plus de 25 ans et de réduire le taux d’effort imposé aux particuliers souhaitant contracter un prêt. 
Parallèlement, à Paris, certains arrondissements ont affiché des prix en baisse fin 2019. Cependant, il est encore trop tôt pour tirer des conclusions et évoquer un « retournement de marché ». La nouvelle année devrait tout de même être favorable aux acheteurs comme aux vendeurs ainsi qu’aux professionnels du secteur.

Prix immobilier à Paris au 22 mai 2019 : Le Diagnostic Immobilier

Lorsqu’un bien est mis en vente ou en location, le vendeur/bailleur doit pouvoir être capable de fournir différents diagnostics. DPE, gaz, amiante… Voici tout ce qu’il faut savoir sur les diagnostics immobiliers clés du marché parisien (et même national). 

 

Des diagnostics, pour quoi faire ?

Si différents diagnostics doivent être réalisés lors de la vente/mise en location d’un appartement ou encore d’une maison, c’est simplement par souci de transparence vis-à-vis de l’acheteur/du locataire. Les diagnostics sont en effet réalisés à titre informatif et leurs résultats n’empêchent pas les ventes/mises en location d’être effectuées. De même, le vendeur/bailleur n’est pas toujours obligé d’effectuer des travaux.
Dans le cadre d’une vente, les différents diagnostics sont réunis dans un dossier de diagnostic technique (DDT) qui doit être présenté avec le compromis puis annexé à l’acte authentique. 

 

Le DPE

Le DPE est le Diagnostic de Performance Énergétique. Non seulement il est obligatoire, mais il doit en outre apparaître dans les annonces publiées pour la vente/la mise en location d’un bien. Pour les copropriétés comptant moins de 50 lots, le DPE des parties communes est obligatoire. Au-delà de 50 lots, on parle d’un audit énergétique.
Mais qu’est-ce que la performance énergétique d’un bien ? Il s’agit tout simplement de l’analyse de ses consommations et rejets d’énergie en fonction de divers éléments (isolation, chauffage…). Le bilan du DPE est présenté sous forme d’étiquette (comme celles que l’on voit sur les appareils électroménagers). Plus concrètement, un appartement classé A a obtenu un meilleur bilan qu’un appartement classé G qui est énergivore. Cette étiquette permet également de voir la quantité de gaz à effet de serre rejetée.
Le DPE doit être réalisé par un professionnel certifié. Lorsqu’il l’a terminé, l’expert doit donner divers conseils et informations pour optimiser le logement concerné. C’est une façon de lutter contre la précarité énergétique des Français et de protéger l’environnement.
→ Notez que pour obtenir certaines aides, il faut communiquer le DPE. 

 

Le diagnostic gaz

Vous vendez un bien ? Sachez que le diagnostic de « l’état de l’installation intérieure de gaz est obligatoire pour tous les logements (appartements ou maisons) dont l’installation du gaz a plus de 15 ans ou dont le dernier certificat de conformité date de plus de 15 ans ». Sont également concernées : les installations des dépendances des maisons individuelles.
Qui doit réaliser ce diagnostic ? Un diagnostiqueur immobilier professionnel et certifié. Il va contrôler l’ensemble de l’installation (tuyaux, aérations…). Ce diagnostic est valide pendant six années. Il permet aux acheteurs de connaître les risques liés à une installation ne respectant pas les normes récentes ou encore dont certains éléments (voire l’ensemble) sont vétustes. 

 

Le Constat de risque d’exposition au plomb (Crep)

Le Crep permet de vérifier la présence de plomb dans un logement (peintures anciennes…). Il doit être remis à l’acheteur ou au locataire et être accompagné d’une notice expliquant les impacts du plomb sur la santé et les précautions à prendre. Il concerne l’ensemble des logements « dont le permis de construire a été délivré avant le 1er janvier 1949 ».
Comme les autres diagnostics, il doit être effectué par un professionnel certifié. Le Crep doit dater de moins d’un an dans le cadre d’une vente. S’il y a « absence de revêtements contenant du plomb ou […] présence de revêtements contenant du plomb à des concentrations inférieures au seuil de 1 mg/cm² », un nouveau Crep n’est pas nécessaire. Pour une location, le Crep doit dater de moins de six ans. 

 

L’État d’amiante

L’État d’amiante est un diagnostic permettant de détecter la présence de ces minéraux dans un logement. Sont concernés, l’ensemble des logements dont le permis de construire a été délivré avant le 1er juillet 1997. Il doit également être réalisé avant de débuter des travaux de rénovation/réhabilitation/démolition. L’État d’amiante a une validité illimitée uniquement s’il a été réalisé après janvier 2013. De l’amiante est détecté ? Le rapport doit préconiser une analyse de risque approfondie ou encore des solutions. 

 

L’État relatif à la présence de termites

Lui aussi intégré au DDT, le diagnostic termites permet d’identifier la présence ou de prouver l’absence de ces petites bêtes xylophages (mangeuses de bois) qui vivent en groupe et causent de multiples dégâts dans les habitations.
« L’état relatif à la présence de termites s’applique aux maisons individuelles et aux parties privatives des lots de copropriétés des immeubles collectifs. Les logements concernés sont ceux situés dans les zones déclarées par un arrêté préfectoral comme étant infestées par les termites ou susceptibles de l’être à court terme ».
Pour savoir si le logement que vous souhaitez acheter/louer/vendre doit faire l’objet d’un tel diagnostic, rapprochez-vous de votre mairie ou encore de votre préfecture. 

 

Le diagnostic électricité

L’état de l’installation intérieure d’électricité est un diagnostic obligatoire pour toutes les installations électriques de plus de 15 ans. Sa durée de validité est égale à trois ans et il doit être réalisé, comme les autres diagnostics, par un professionnel certifié. Celui-ci va vérifier de multiples éléments et dresser un bilan de ses diverses observations.
À noter : une attestation de conformité ou une déclaration délivrée par un organisme agréé par le ministre en charge de l’énergie et datant de moins de trois ans équivaut à un état d’installation intérieure d’électricité.

 

L’État d’installation d’assainissement non collectif

Il s’agit d’un diagnostic permettant de vérifier la conformité (ou l’absence de conformité) de l’installation avec la réglementation. Il doit apparaître dans le DDT pour tous les logements non raccordés au réseau public de collecte des eaux usées.
C’est le service public d’assainissement non collectif (SPANC), contacté par le vendeur, qui doit réaliser le diagnostic. Si des problèmes sont relevés, des travaux de mise en conformité doivent être réalisés. Lors de la signature de la promesse de vente/de l’acte de vente, ce diagnostic doit dater de moins de trois ans. 

Autres diagnostics


L’état des risques et pollutions concerne quant à lui les biens situés dans certaines communes françaises. Il doit avoir été rempli moins de 6 mois avant la signature de la promesse/de l’acte de vente ou du bail.
Enfin, pour tout logement en copropriété mis en vente, le mesurage Loi Carrez est obligatoire. C’est la responsabilité du vendeur. C’est un diagnostiqueur immobilier certifié qui doit effectuer ce mesurage.
Vous en savez désormais plus sur les diagnostics immobiliers. N’hésitez pas à vous renseigner en cas de vente, d’achat ou encore de mise en location.

Prix immobilier à Paris au 13 février 2019 : Paris : Immobilier De Luxe, Brexit Et Prix en Hausse

Ce n’est pas parce que le Brexit a lieu hors de nos frontières qu’il n’a pas d’incidence sur ce qui se passe dans notre pays. La preuve ? À Paris, les prix dans l’immobilier de luxe connaissent actuellement une hausse. 

 

Le Brexit (ré)expliqué

Vous en avez forcément entendu parler : le Brexit divise autant sur ses terres qu’ailleurs dans le monde. Mais de quoi s’agit-il exactement ? Le Brexit est en fait la contraction de deux mots : « British » d’une part et « exit » d’autre part. En somme, c’est la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.
C’est précisément le 23 juin 2016 que plus de la moitié des Britanniques ayant voté au référendum mis en place par l’ancien Premier ministre David Cameron ont choisi de dire au revoir à l’UE. Le 29 mars 2019, cette sortie sera effective (le pays et les autres pays membres de l’UE ayant deux ans pour se préparer à cet événement – article 50 du traité de l’Union européenne).
Le processus de sortie d’un pays de l’UE se fait en suivant diverses étapes. Pour le Brexit, les négociations entre les différents pays n’ont pas été simples. Encore maintenant, des questions restent sans réponses : les expatriés, qu’il s’agisse d’Européens vivant au R.U. ou de Britanniques vivant à l’étranger, conserveront-ils leur statut si leur expatriation se fait après le 29 mars 2019 ? Qu’en est-il de la place de l’Irlande du Nord ?…
Le Brexit, ce sont aussi de multiples conséquences économiques au-delà des frontières du R.U. En France, par exemple, l’immobilier de luxe parisien commence déjà à payer le prix de cette sortie de l’UE.

 

Immobilier de luxe à Paris : les conséquences du Brexit


Avec le Brexit, beaucoup d’expatriés londoniens (re)viennent s’installer à Paris. Ces derniers étant dotés d’un pouvoir d’achat plus élevé, leur venue (ou leur retour) n’est pas sans conséquence pour le marché immobilier parisien comme en attestent les nombres publiés par Barnes, réseau immobilier haut de gamme. 

 

Portrait des expatriés londoniens

Les expatriés londoniens (qu’ils soient Français ou non) ont un pouvoir d’achat supérieur à celui des Parisiens. Mais d’où viennent-ils ? Du monde de la finance pour une grande majorité. Ce sont en général des couples dans la quarantaine/cinquantaine et avec enfants. Ils souhaitent donc trouver des biens familiaux d’une surface suffisante pour accueillir toute leur petite famille.
Séjour double, trois chambres… Ce sont là des exemples de caractéristiques que les biens doivent posséder pour les séduire. En outre, la proximité des bonnes écoles est un élément essentiel aux yeux de ces expatriés à la recherche d’un bien dans la Ville Lumière.
Enfin, parmi ces derniers, nombreux sont ceux qui ont vendu leur bien londonien pour acheter un appartement parisien. 

 

Les secteurs les plus plébiscités

Où les expatriés choisissent-ils de s’installer ? En priorité dans les zones familiales comme les 8e, 16e et 17e arrondissements notamment. Neuilly-sur-Seine remporte également un franc succès. Depuis environ six mois, 8 à 12 % des ventes conclues par le réseau Barnes sont réalisées par les expatriés. Des pourcentages un peu plus bas dans le Marais et dans les 6e, 7e, 9e et 18e arrondissements (5 à 10 % des ventes). Et depuis la rentrée et après une pause en mai-juin, les ventes reprennent.
Mais dans ces secteurs où la situation immobilière est déjà relativement tendue, ces ventes conclues par les expatriés ont une incidence directe sur les prix. 

 

Des prix en hausse dans l’immobilier de luxe


Dans certaines zones, le mètre carré ne descend pas en dessous de 12 000 euros. À Montmartre, de superbes biens ont même trouvé acquéreurs à 20 000 euros du mètre carré. Dans le Marais, quartier apprécié et réputé, le mètre carré a atteint les 25 000 euros (soit plus de 1,6 million d’euros pour une surface de 65 mètres carrés).
Parallèlement, le mètre carré reste à environ 9 300 euros pour des logements classiques. Cependant, la situation dans l’immobilier de luxe a des conséquences sur tout le marché immobilier parisien.
Le retour ou la venue des expatriés a une incidence sur les prix de l’immobilier parisien avec une hausse notable dans le luxe. Néanmoins, il ne faut pas encore craindre le pire concernant l’ensemble du marché puisque la venue des expatriés reste une tendance « marginale ».

Prix immobilier à Paris au 20 février 2017 : Immobilier Paris : Les Prix en Fonction Des Stations De Métro

Quand on parle des prix de l’immobilier à Paris et de ce qui les influence, on évoque souvent le secteur ou encore le type de biens. Mais saviez-vous que les stations de métro environnantes ont aussi un lien avec les prix pratiqués dans la capitale française ?

 

Pourquoi analyser les prix selon les stations de métro ?

En 2013,  arriva la 1ère carte des prix de l’immobilier à paris en fonction des stations de métro. Trois ans plus tard, la carte ne concerne plus uniquement Paris, mais toute la région Île-de-France.
Mais pourquoi une telle carte ? Parce que, lors d’une recherche immobilière, les transports constituent le deuxième critère de choix des futurs acquéreurs.
Que faut-il alors retenir de la version 2016 de cette carte disponible en ligne ?

 

Carte des prix : quelles conclusions tirer ?


La ligne la plus chère de Paris est la numéro 12 avec les stations Solférino et Rue du Bac, les plus coûteuses en termes de loyers. Quant aux écarts entre les stations de cette ligne, ils peuvent dépasser les 10 000 euros.
La ligne 13, quant à elle, est celle des extrêmes avec des quartiers comme les Invalides et des villes de banlieue comme Saint-Ouen. Là aussi, les écarts entre les lignes peuvent dépasser les 10 000 euros.
Et la ligne la moins chère ? C’est la numéro 5 du tramway avec un mètre carré à 2 556,6 euros en moyenne et un écart très faible entre les lignes.
Les stations les plus chères en termes de mètres carrés sont celles de Saint-Germain-des-Prés et Mabillon (plus de 30 euros par mètre carré pour chacune). La station la moins chère (loyers et mètre carré) est celle de Malesherbes.

 

Tableau récapitulatif des prix selon les stations

LignePrix/m2 de la station la moins chèrePrix/m2 de la station la plus chère
Métro — 15 375 euros (Esplanade de la défense)12 209 euros (Franklin D. Roosevelt)
Métro — 26 243 euros (La Chapelle)10 172 euros (Monceau)
Métro — 33 764 euros (Gallieni – Parc de Bagnolet)10 017 euros (Opéra)
Métro — 3 b5 918 euros (Porte des Lilas)6 844 euros (Gambetta)
Métro — 45 880 euros (Mairie de Montrouge)12 906 euros (Saint-Germain-des-Prés)
Métro — 52 645 euros (Bobigny-Pablo Picasso)3 560 euros (Gare d’Austerlitz)
Métro — 67 156 euros (Chevaleret)10 038 euros (Raspail)
Métro — 72 795 euros (Fort d’Aubervilliers)13 103 euros (Pont Marie – Cité des Arts)
Métro — 7 b6 036 euros (Pré Saint-Gervais)7 217 euros (Buttes-Chaumont)
Métro — 83 136 euros (Créteil-Préfecture — Hôtel de Ville)12 666 euros (Invalides)
Métro — 94 340 euros (Mairie de Montreuil)12 209 euros (Franklin D. Roosevelt)
Métro — 106 881 euros (Boulogne-Pont de Saint-Cloud)12 654 euros (Mabillon)
Métro — 114 567 euros (Mairie des Lilas)10 120 euros (Hôtel de Ville)
Métro — 122 983 euros (Mairie d’Aubervilliers)13 147 euros (Rue du Bas)
Métro — 132 625 euros (Saint-Denis-Université)13 192 euros (Varenne)
Métro — 142 821 euros (Aéroport d’Orly)10 892 euros (Pyramides)
Métro — 152 611 euros (Pont de Bondy)6 553 euros (Pont de Sèvres)
Métro — 162 304 euros (Clichy Montfermeil)3 449 euros (Saint-Denis Pleyel)
Métro — 172 383 euros (Parc des expositions)3 449 euros (Saint-Denis Pleyel)
Métro — 182 821 euros (Orly Aéroport)5 571 euros (Satory)
RER A2 334 euros (Noisel)9 813 euros (Charles de Gaulle – Étoile)
RER B2 365 euros (Sevran-Beaudottes)11 493 euros (Luxembourg)
RER C1 915 euros (St-Martin-D’Étampes)12 666 euros (Invalides)
RER D1 508 euros (Malesherbes)9 621 euros (Châtelet-les-Halles)
RER E2 396 euros (Gretz-Armainvilliers)8 717 euros (Haussmann-St-Lazare)
Tramway — 12 479 euros (Hôtel de Ville de la Courneuve)3 273 euros (Les Courtilles-Asnières-Gennevilliers)
Tramway — 23 401 euros (Pont de Bezons)7 590 euros (Porte de Versailles)
Tramway — 3A5 942 euros (Porte de Choisy)7 724 euros (Porte d’Orléans)
Tramway — 3B3 374 euros (Ella Fitzgerald)8 304 euros (Rosa Parks)
Tramway — 42 425 euros (Rougemont-Chanteloup)2 984 euros (Aulnay-sous-Bois)
Tramway — 52 200 euros (Paul Valéry)2 892 euros (Marché de St-Denis)
Tramway — 63 736 euros (Inovel Parc Nord)5 347 euros (Châtillon-Montrouge)
Tramway — 72 791 euros (Cœur d’Orly)4 169 euros (La Belle Épine)
Tramway — 82 480 euros (César)3 035 euros (Pierre de Geyter)

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Prix immobilier à Paris au 24 mars 2015 : MARCHÉ IMMOBILIER À PARIS ET INTERVENTION D'UN CHASSEUR DE BIENS

Marché immobilier à Paris ? Beaucoup de personnes, cherchant à louer, à acheter ou bien à vendre dans la capitale française, se posent la question. Pour y répondre, voici les tendances ou encore les prix pratiqués ainsi que quelques conseils comme l’intervention d’un chasseur de biens immobiliers.
Marché immobilier à Paris : baisse des prix et des ventes
Les Notaires de Paris-Île-de-France ont partagé leurs statistiques relatives au marché immobilier à Paris. On constate alors un niveau de ventes et une baisse des prix tous deux qualifiables de faibles. L’année 2014 a été marquée par une stagnation des ventes dont le niveau était quasiment le même que celui de 2013. Et qu’il s’agisse de maisons ou d’appartements, la baisse des prix est générale. En outre, elle semble bien partie pour s’accélérer dans les prochains mois.
Marquées par des volumes de ventes modiques, 2013 et 2014 n’ont toutefois pas été aussi alarmantes que 2009 et 2012. Cependant, en Île-de-France, l’année 2014 s’est terminée avec une baisse de 9 % des volumes de ventes par rapport au quatrième trimestre de l’année précédente. Ainsi, « 131 600 logements anciens ont été vendus en 2014, soit 1 500 de moins qu’en 2013 (-1 %) ».
Toujours selon les Notaires de Paris, « les prix des appartements reculeraient de 4,8 % dans les Hauts-de-Seine et de 3,9 % en Île-de-France d’avril 2014 à avril 2015. La baisse annuelle du prix des maisons atteindrait 2,1 % à la fin avril 2015 ».
Au 1er mars 2015, les prix moyens au mètre carré de l’immobilier à Paris (prix net vendeur) ont franchi la barre des 8000 €  le mètre carré.

 

Marché immobilier à Paris : taux des crédits, optimisme et loi Pinel

Avec des prix toujours très élevés malgré les baisses constatées et la crise encore bien présente, le marché immobilier à Paris fait encore peur aux personnes souhaitant accéder à la propriété. Pourtant, « le niveau exceptionnellement attractif des taux des crédits à l’habitat » est à relever. Ceux-ci sont en effet historiquement faibles.
Diverses observations permettent d’être optimiste quant à la situation du marché immobilier à Paris en ce premier trimestre 2015. Le nombre de visites de biens en vente a augmenté et on note également un intérêt croissant pour des logements (appartements et maisons) chers. De surcroît, les vendeurs font preuve de souplesse en acceptant de baisser leurs prix. Ainsi, pour les acquéreurs, le marché est à nouveau nettement favorable.
Autre moyen d’inciter les personnes à acheter des biens immobiliers : la loi Pinel, qui encourage l’investissement locatif.

 

Marché immobilier à Paris : le point sur le marché locatif

Quand on parle du marché immobilier à Paris, on pense également au marché locatif (acheter un bien pour le mettre en location). Depuis l’été 2014 et à l’échelle nationale, celui-ci se porte mieux. On note même un taux de mobilité de 28,9 % en ce début d’année 2015. Les régions concernées par cette mobilité accrue sont l’Aquitaine, le PACA et la Bourgogne. En revanche pour d’autres, comme l’Île-de-France, l’activité recule encore légèrement. Il y a en effet peu d’offres à Paris où la mobilité n’a jamais été aussi faible (16,7 % des ménages). La demande est là, mais l’offre ne suit pas.
Quant aux loyers, s’ils ont augmenté en 2014 (+1 %), on note une baisse globale de 0,9 % en ce début d’année, baisse atteignant même 2 % pour les studios et logements d’une pièce et 1,8 % pour les logements de deux pièces. Une tendance nationale puisqu’une baisse des loyers est constatée dans « 80 % des villes de plus de 148 000 habitants ».

 

Marché immobilier à Paris : conseils

Trouver un bien immobilier à Paris n’est pas chose aisée. Il faut, tout d’abord, bien préparer son achat (aspect financier, volonté ou non de faire des travaux…). Il faut également se projeter dans l’avenir, dresser une liste d’impératifs (nombre de pièces, d’étages, arrondissements privilégiés…), visiter plusieurs biens en prenant son temps, comparer les prix des logements et faire chiffrer les travaux si besoin. Ensuite, il faut faire une offre d’achat.
Il est aussi possible de faire appel à un chasseur immobilier sur Paris. Un chasseur de biens immobiliers est un agent immobilier qui se charge de la recherche de biens pour ses clients en respectant au mieux les critères listés par ces derniers. Il visite lui-même les biens qu’il a sélectionnés, gère les démarches de prospection et c’est également lui qui va négocier les prix. Il est donc tout à fait possible de faire appel à un chasseur d’appartement sur Paris comme Stéphane Plaza, par exemple, qui a mis en lumière ce métier grâce aux diverses émissions TV auxquelles il participe. À la clé : un gain de temps considérable pour les clients qui n’ont pas à effectuer les recherches et autres visites eux-mêmes.

Sources : Notaires Paris-Île-de-France

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