Recherche d'appartement Paris 11e pour un couple de primo-accédants cosmopolite !
Trouvé ! Découvrez une recherche menée rapidement par Frédéric Girard, notrechasseur d’appartement spécialisé sur Paris 11e. Compte tenu de leurs agendas très chargés, Adèle et Benjamin peinent à trouver leur appartement: ils décident donc de s’en remettre aux bons conseils de Frédéric…
Quel est le projet de ce couple cosmopolite ?
Adèle est une jeune femme d’origine chinoise, qui travaille à Paris depuis de nombreuses années: sa vie est rythmée par les voyages entre la Chine et la France. Benjamin, son compagnon, est également entre deux pays, puisqu’il travaille en Irlande, tout en étant d’origine hollandaise. Non mariés, ils ont le projet d’acheter leur premier bien immobilier ensemble, par le biais de deux donations parentales. Un dossier aux financements internationaux, qui a donné bien du travail au courtier de Home Select (HS)!
Pourquoi recourir à un chasseur d’appartement ?
Adèle a consacré quelques mois à la recherche de cet appartement, mais elle s’est vite rendu compte qu’elle n’y arriverait pas: avec un emploi du temps très chargé, elle ne parvenait pas à se montrer suffisamment réactive. Sans compter qu’elle souhaitait aussi profiter du savoir-faire d’un chasseur immobilier — et notamment de sa connaissance du terrain.
Quel a été le premier atout de HOME SELECT chasseur immobilier sur ce dossier ?
Adèle a mené quelques recherches sur Internet et s’est laissée séduire par le sérieux du site Home Select. Après avoir rempli le formulaire de contact, Jean Mascla a transmis le dossier à Frédéric Girard, dont la maîtrise de l’anglais (langue commune du couple) permettrait de bien les accompagner!
Quel était l’élément indispensable au couple ?
Notre chasseur immobilier a rapidement contacté Adèle, pour établir, avec elle, la liste des critères de recherche à faire figurer sur le mandat: le couple souhaitait un appartement doté d’une bonne distribution (feng shui), avec 3 pièces et obligatoirement une cave, pour y stocker leurs affaires. Si elle préférait le 11e arrondissement, ils n’étaient pas «fermés» à d’autres options. Seuls les 10e, 18e, 19e et 20e étaient à éviter. Enfin, le bien pouvait nécessiter quelques petits travaux, mais uniquement de l’ordre du rafraîchissement. Le tout pour un budget de 500000€.Adèle n’étant pas attachée à une surface particulière, la recherche s’annonçait parfaitement plausible, au regard de ses autres critères. Par ailleurs, elle n’exigeait pas, non plus, la présence d’un ascenseur, ce qui était également un critère d’ouverture. Heureusement, car l’impérative cave resserrait légèrement le cahier des charges! À ce niveau-là, il faut savoir que la difficulté, pour un chasseur d’appartement, est de trouver un bon équilibre entre des exigences trop contraignantes et des attentes trop évasives, susceptibles de laisser trop de place à la subjectivité du client.
Au-delà du marché immobilier, qu’est-ce que Frédéric devait prendre en compte ?
Pour cette recherche, Frédéric devait composer avec l’agenda d’Adèle, afin de pouvoir rehausser l’intensité des visites, en fonction de sa présence dans la capitale ou non. Heureusement, sa cliente a su se montrer très disponible et réactive, avec une attitude, à la fois volontaire et positive, tout en étant également très à l’écoute des suggestions de Frédéric. À l’approche d’une «session» de visites, notre chasseur d’appartement épluchait les petites annonces et réalisait des emails personnalisés auprès de ses contacts – notamment ceux du 11e arrondissement.
De quelle manière Frédéric a-t-il organisé la recherche ?
Sur ce dossier, Frédéric a privilégié le fait d’organiser beaucoup de pré-visites et visites, afin de la familiariser avec le quartier ciblé. Et cela, même si les biens ne correspondaient pas exactement au cahier des charges. Une démarche qu’il a bien expliquée à Adèle (et qu’elle comprenait!), sans compter qu’en procédant ainsi, notre chasseur nouait aussi des contacts privilégiés avec les agents immobiliers du secteur, afin de construire sa recherche auprès des professionnels: il est toujours préférable de mettre un visage sur un dossier!Au cours de ces visites, Adèle a été séduite par un appartement situé dans le 17e arrondissement, qui avait beaucoup de qualités, mais qui nécessitait d’importants travaux. Comme le bien était légèrement surévalué, elle a décidé de faire une offre inférieure au prix demandé, mais elle n’a pas été retenue. Petite déception, rapidement oubliée par une nouvelle proposition de Frédéric…
Comment notre chasseur d’appartement a-t-il charmé le propriétaire ?
Repérée sur le site PAP (entre particuliers), l’annonce offrait de belles prestations. Mais au moment de prendre rendez-vous avec le propriétaire, notre chasseur d’appartement a connu de grandes difficultés: est-ce qu’il ne voulait pas travailler avec un chasseur? N’était-il tout simplement pas disponible? À force d’insister, Frédéric a rapidement découvert qu’il n’était pas directement en cause. Le vendeur souhaitait simplement synchroniser la vente avec un achat. Échaudé une première fois, après un achat accepté puis refusé, il avait préféré mettre en stand-by tout le processus de vente. Dans ce contexte très particulier, Frédéric a donc expliqué au propriétaire tout l’intérêt du dossier d’Adèle et Benjamin: primo-accédants tous les deux, ils n’étaient pas pressés et pouvaient négocier une vente longue, selon les besoins du vendeur.
Son bien présentait quels atouts pour séduire ?
Situé dans le 11e arrondissement de Paris, dans une impasse pavée, en étage élevé sans ascenseur, l’appartement en question avait été refait 5 ans auparavant, avec beaucoup de goût: parquet, moulures, salle de bain splendide… Et naturellement, le bien était vendu avec une cavepour un prix affiché de 500000€.
Notre couple de primo-accédants a-t-il négocié ?
Si le prix était très acceptable, Frédéric a encouragé Adèle à rédiger une proposition à 490000€, intégrant la possibilité d’une vente longue, susceptible d’être raccourcie à loisir par le vendeur. Du fait de ses tergiversations, le bien était affiché sur les sites depuis de nombreuses semaines: les visites s’espaçant de plus en plus au fil des jours, il était un peu «brûlé», comme on dit dans le jargon immobilier. Un argument qui n’a pas manqué de peser sur la négociation et la décision du vendeur de valider l’offre d’Adèle.
Qu’ont-ils découvert au moment des travaux ?
À la remise des clés, Benjamin et Adèle pouvaient emménager immédiatement. Malgré tout, ils ont demandé les coordonnées d’un entrepreneur à Frédéric, afin de faire quelques légères modifications (pose de parquet en points de Hongrie). Au moment de l’intervention, le professionnel a découvert que l’installation électrique présentait des défauts au niveau du passage des câbles dans les cloisons. Pourtant, le diagnostic électrique — obligatoire pour la vente — indiquait «0 défaut»! Malheureusement, il n’y a aucun recours possible: comme le diagnostiqueur ne peut rien démonter, il n’évalue que la partie visible! C’est dans ce genre de situation, que l’on voit les limites du diagnostic électrique… À défaut de pouvoir totalement s’en protéger, il est vivement recommandé de demander les factures et les qualifications des entreprises ayant effectué les travaux.
Frédéric, au cœur de cette acquisition !
Sur ce dossier, Frédéric ne s’est jamais senti aussi utile– apportant des solutions, aussi bien pour le vendeur que pour ses clients! Aujourd’hui encore, il est en contact avec Adèle, délivrant ses précieux conseils, chaque fois qu’elle en a besoin!
« Absolument ravis » !
Absolument ravis, Adèle et Benjamin ont invité Frédéric et son épouse dans le meilleur restaurant chinois de Paris! Un endroit connu uniquement des initiés – et qui, rien qu’à son évocation, fait encore palpiter le cœur de notre chasseur immobilier!